VI Nations à l'Ail
Le rugby aujourd'hui passe du coq à l'âne sans commune mesure et sans vergogne tel un barnum qui se déplace au grè des vents financiers et de l'audiovisuel. Fini l'antan ou chacun attendait religieusement ce moment décalé d'un rugby national pour se mesurer aux meilleures nations européennes. La saveur n'était pas dans les commentaires de notre légendaire Roger quoique mais par le fait de la lecture des journaux spécialisés qui nous relataient les préparatifs des uns et des autres nous laissant cette saveur perdue qu'on appelait le goût. Pas de réseaux sociaux, pas de télévision ou si peu, des matchs avec le bataillon de Joinville en fond de toile pour la mise en forme et pas une armada de joueurs et de remplaçants dont on fait faire actuellement des allers et venues comme dans l'import-export pour le bétail ! L'entraineur de l'époque n'avait pas non plus une kyrielle de savants spécialistes autour de lui et encore moins la technologie d'aujourd'hui. Nous étions dans l'humain, les qualités athlétiques, une grande diversité des clubs du championnat de France et pourtant "les pardessus" faisaient dans l'ombre le bonheur ou le malheur de chacun des sélectionnés. Le rugby s'est modélisé au fil du temps grâce aux ordinateurs, aux GPS et bientôt l'intelligence artificielle. Toutes ces périodes charnières sont de courtes durées effaçant de nos mémoires le beau et la tradition. Se rendre dans l'enceinte Dyonésienne n'a pas la même saveur que d'aller au Stadium. En cela, les coupes du monde m'ont beaucoup appris sur le côté culturel mais aussi touristique des tournois. Dans tous les cas de figures depuis 1999, ma première coupe du monde, se rendre au stade n'a plus le même sens selon les compétitions. Pour les coupes du monde, nous sommes devant un public de touristes alliant le double intérêt de voyager et de voir leurs équipes nationales sans pour autant être forcément de fins connaisseurs. Les coupes d'Europe sont l'occasion de faire la fête et de sortir de l'étreinte de la maison ou du club contrairement au top 14 pour le citer. L e tournoi est devenue une sortie entre copains ou en famille permettant d'oublier les contraintes du quotidien. Côté rugby, le plus attendu pour ma part ce sont les chants. Nous les connaissons tous et pourtant chaque année, le plaisir est là avec les poils qui se dressent. Mes préférences, "Flower of Scotland", "Land of my Fathers" et plus récemment "Fratelli d'Italia" sans oublier Rouget de Lisle. Je ne sais pas dire pour quoi, probablement l’enceinte ? Enfin et le plus intéressant sont les équipes. L’ogre français, en termes de licenciés, a le choix de 42 joueurs voir plus si on prend les listes cachées ! Quid des autres nations plus pauvres en licenciés qui doivent se réinventer à chaque saison ! Si on fait un parallèle avec la coupe d’Europe, le bilan est plus que positif pour la France ! Et pourtant, au compteur, depuis 2010, 2 tournois gagnés en 14 ans, résultat plus que famélique, anorexique ! Ce qui remet en cause les compétences de Galthié ces dernières années sans souligner la défaite en coupe du monde. Il est possible de faire une analogie avec un grand cycliste français, souvent sur le podium, rarement vainqueur, le Poulidor du rugby ! Et nous avons soi-disant le meilleur 9 du monde sur qui tout repose ou presque! A contrario, nous avons la palme d’or des 3e mi-temps avec des joueurs emblématiques et un entraineur adjoint, toulousain, rappelé à l’ordre. Tout cela devient plus que fumeux, critiquable voire inacceptable au titre de l’éthique, des valeurs et de l’image de ce sport. Reste qu’à domicile, on devrait assurer le score et pour les déplacements, rien n’est moins sûr de potentiellement gagner le tournoi. Nous sommes habitués aux contre-performances depuis des décennies. "Le hasard gagne des batailles mais le coeur ne se gagne que par des vertus". Jean Pierre Florian (XVIII.e)
Il parait que le reportage sur l'équipe est terrible ...et il résume a lui tout seul cette dérive d'un sport appelé rugby d'avant a un autre sport appelé rugby pro...Malheureusement comme tout ce qui nous entoure , nous ne pourrons revenir au rugby d'avant qui peut être avait des bourre pifs , mais d'autres valeurs humaines ...nous sommes dans un monde en évolution tel les délices de capoue de l'empire romain avant que les barbares ne viennent les détruire ; nous avons nos barbares aux frontières et à l'intérieur et il se peut que dans 100 ans tout aille mieux ; mais aujourd'hui on se contentera d'un France Galles qui n'approcheras que de loin celui de 1968 avec ces légendes ....pas de regrets , galthié va surement nous sortir une équipe pour perdre devant de pales gallois ...je plaisante car là encore les gallois sont loin de leurs grand parents
RépondreSupprimerTautor, bien repris l'ensemble des derniers propos. Pour ma part, quand tu parles de "l'enceinte dionysienne", en regard de ton "Stadium Toulousain", je pense plutôt, pour ce qui est du Tournoi proprement dit, aux stades de "Colombes, dit Yves-du-Manoir" dans un premier temps, au "Parc des Princes" dans un second. Etant en grande partie banlieusard, j'ai beaucoup traîné mes guêtres dans ces lieux mythiques du sport Français. Beaucoup de bons souvenirs.
RépondreSupprimerPour le reste, je suis globalement d'accord avec ta réflexion disons, apaisée, objective et lucide sur le monde actuel. Précisément, hier soir, je buvais un blanc au bar de la brasserie voisine dénommé "La Farlo" -en l'honneur des ouvriers du chapeau de Chazelles-sur-Lyon appelés les Farlots, ce qui signifie en patois "fiers et libres",- et je suis tombé sur deux jeunes artisans buvant une bière et dont l'un montait à Paris ce vendredi pour un week-end de je ne sais plus quoi et qui en profitait pour aller au match de ce soir. Place étant réservée depuis longtemps...Le stade (80.000 personnes) sera plein! Ils parlaient, au départ de foot dont ils avaient l'air spécialistes...A ma question sur le rugby, non le détenteur du billet n'y connaissait rien...Il y allait pour le spectacle et "gueuler un maximum"....Il m'a dit qu'il serait au-dessus de l'entrée des joueurs....et "qu'il me ferait signe"...! Jamais, au grand jamais, je ne rencontrais "à l'époque" des amateurs de cet acabit, méconnaissant absolument le jeu, ses règles et son histoire. Entre parenthèses je m'amuse beaucoup à ce bar en parlant avec tous ces jeunes -de bon niveau et de bonnes familles- devant leur méconnaissance d'un passé relativement proche et dans tous les domaines d'ailleurs.
Pour ce qui est des Pays-de-Galles/France de légende et des années charnières, plus que celui de 1968, grand Chelem à l'appui qui a marqué une date, je reprendrais ce que j'ai écrit ci-dessus dans la précédente chronique à propos d'Aldo Gruarin. Oui, grand match de l'Equipe de France et de Gruarin en particulier. Oui, 1964 année charnière pour de multiples raisons que je n'ai plus le courage de développer ici et maintenant.
Quand la gangrène est là, ce n'est plus qu'une affaire de temps pour amputer. Le avant avait ses travers tus par éthique. Quand World Rugby triche pour le dopage pour un sport propre, la pyramide a recours aux mêmes recettes. Il y a les narcotrafiquants et les euro-trafiquants. Après ça, va jouer !
RépondreSupprimerDes spectateurs qui n'y connaissent rien ? Mais c'est l'essence même de ces grandes messes du Tournoi ; il n'y a qu'à écouter les grondements du public non sur le jeu collectif mais sur l'exploit individuel ... en gros le dernier de la file de joueurs qui reçoit le ballon pour marquer est applaudi, porté aux nues, les autres ben ... on ne les connait pas . Il fut un temps où on a même imaginé de pouvoir se passer des mêlées, trop techniques et incompréhensibles pour les publics actuels .
RépondreSupprimerCe qui m'intéresserait c'est la sociologie du public du Tournoi . Qui va voir les matches ? Dans mon entourage ils n'y vont pas car "on voit mieux à la télé " et " ça gueule tout le temps pour rien " . Sur différents sites je lis les avis des spectateurs, manifestement ils ne connaissent pas du tout les joueurs, ni leurs clubs et encore moins les équipes adverses . Le Tournoi est donc un phénomène purement médiatique, sonorisé ( hélas !), mis en scène avec feux d'artifice, drones, effets lumineux ... Tout le tintouin .
D'ici que les matches soient scénarisés ...
Elles sont loin les tribunes pleines de bérets, de gourdes remplies de vin, d'odeurs de saucisson et d'ail, d'accents plus ou moins rocailleux et de commentaires avertis par seulement presque exclusivement d'anciens (ou d'actuels) joueurs!
SupprimerD'un côté les chauves, de l'autre les moustachus ! Très glamour avec des maillots de drag queen et des protèges dents rose ou bleu !! Très dans le mouv, un arbitre féminicide et de la musique à la Yaka kaka ! Le décor est planté ! Reste le scénario ! ll faut voir les glandus des J.O. !
RépondreSupprimerBou diu c'est ça un match du tournoi ? Une mascarade, un entraînement tout au plus, rien d'autre. Match chèrement payé pour les "Diables rouges", 2 blessés sérieux, des cartons jaunes, 0 essai malgré leurs bravoures, bref un match d'entraînement qui tournoie mal ! Du coup, que dire de la performance du XV de France ? Pas de quoi grimper aux arbres. Un carton rouge mérité et idiot, merci NTK sûrement puni pour la fin du tournoi. Dupont, Roumat, Aldritt, Ramos, pièces maîtresses du succès. Des ailiers sombrant dans la facilité devant un l'adversaire trop faible , Antonio en travers à chaque mêlée, je ne vois rien d'autres à dire, ah si, les Argentins de retour avec quelques sifflets. Enfin, Galthié toujours aussi suffisant dans des commentaires.
RépondreSupprimerN'oublie pas Boudehent et Cros . Sinon oui c'est bof-bof et ça démarre tard et ça dure , pas eu le courage d'aller au delà de la 1ère mi-temps . On a le droit de trouver ça ennuyeux ? Oui je ne dis pas "ennuyant" ni "malaisant" ces nouveaux mots m'exaspèrent .
SupprimerJ'oubliais : toujours ces essais de raccroc sans construction réelle, tant mieux si ça passe mais sinon on fait comment ?
RépondreSupprimerUne sorte de photocopie du 80 à 12 entre Toulouse et Leicester en Coupe d'Europe.
RépondreSupprimerEcosse - Italie très agréable : des Ecossais soudés devant un public joyeux et des Italiens fougueux qui n'ont pas lâché . On en redemande !
RépondreSupprimerToujours plaisant de voir jouer l'Écosse et l'Italie pour des raisons différentes, d'un côté un hymne à fleur de peau, de l'autre la construction d'une nation de rugby. Le jeu en kilt a toujours du panache avec quelques imperfections qui coûtent le haut du tableau. La pasta a de la saveur depuis Castrogiovani, la pizza n"a pas encore la saveur napolitaine, il faut encore travailler la pâte avec les mains !
RépondreSupprimerTout-à-fait. Il y avait deux équipes "valables", ce qui a rendu le match très intéressant par son indécision. Quoiqu'il paraissait quand même que les Ecossais étaient supérieurs dès qu'ils voulaient bien faire preuve d'un peu de sérieux et de concentration.
RépondreSupprimerIrlande Angleterre, changement de décor avec un défi physique monstrueux, un jeu abusif au pied, un rodage avec les jeunes irlandais qui ont besoin encore de temps de jeu pour assimiler les automatismes. Côté lords, 50 minutes avant le trou d'air pour revenir en fin de match. La rentrée des cadres verts à changé le cour du jeu. Outre le 9, Loewe a offert des caviars gagnants. Aller à Twick ne va pas être une séance d'entraînement, il faudra montrer autre chose et surtout être prêt physiquement. Reste que les Irlandais vont jouer pour un 3e grand Chelem, à bon entendeur Mr Galthié, salut !
RépondreSupprimerTrois matches de niveaux et d'intérêts de plus en plus élevés pour "x" raisons dont la plus importante étant liée à la différence de potentiel des unes et des autres équipes. Très faible Pays-de-Galles, en bas; jusqu'aux deux ogres Angleterre et Irlande, en haut qui se sont rendues coup pour coup. Au milieu, sur ce que j'ai pu voir, l'Italie, l'Ecosse et la France dans l'ordre. Un peu comme d'habitude pour l'Ecosse, capable du pire comme du meilleur devant une Italie de plus en plus solide, sans doute grâce de belles générations d'U20 et un management intelligent de Quesada. La France est et sera là, j'en suis sûr. En difficulté, certainement lors de ses deux prochains voyages: comment pourrait-il en être autrement?
RépondreSupprimerQuant à Galthié, j'ai très clairement apprécié son interview, ses explications générales et ses analyses, en particulier celles liées aux changement des règles.
Vrai, plus ouvert, plus simple, pour donner du sens à son interview. Surtout des explications techniques d'un nouveau genre qui donne l'eau à la bouche. Bon, ne soyons pas naïf non plus, il soigne sa com déplorable jusqu'alors. La défaite de 2023 a du créer un électrochoc intérieur. Il est évident qu'en parlant ainsi, le courant doit mieux passer avec les joueurs. Je pense que le contact avec Dupont a changé beaucoup de choses surtout depuis l'Argentine où il est loin d'être innocent. Il a dû lui dire ce que pensait le vestiaire et sa façon personnelle d'appréhender le jeu. Même s'il s'agissait d'un galop d'essai, des choses ont changé devant avec le retour d'Aldritt, Roumat étincelant en 2e ligne, la 3e ligne plus mobile, moins dans les consignes et le tableau noir, plus de spontanéité. Place aux U 20 devant les Gallois à la Rabine, bel hommage aux Bretons.
RépondreSupprimerAvec des Gallois qui parlent Breton....Je le sais par mon ami Jean-Yves, breton bretonnant de Pédernec près de Guingamp, qui s'est retrouvé au Pays-de-Galles, il y a quelques années, dans un bar, et s'est mis à parler avec tout le monde sans problème! Au fond, ils jouent quasiment chez eux!
RépondreSupprimerC'est normal il s'agit de la branche dite brittonique des langues celtiques, parlée en Bretagne et au Pays de Galles . La 1ère branche étant la branche gaélique, celle de l'Ecosse et de l'Irlande .
SupprimerQue dire après cette première journée du tournoi ? Les équipes nationales sont elles le reflet des équipes engagées dans les compétitions européennes ? A vrai dire, le parallèle n'est pas une certitude sauf pour Christophe Colomb, les clubs phares sont là comme chaque année et la suprématie est française pour l'instant. Reste que toute analogie avec le VI Nations n'est que fortuite car depuis 2010 nous avons gagné une seule fois le tournoi sous l'ère Galthié alors qu'en Champions Cup, pour la même période nous avons gagné 10 fois le titre (Stade Toulousain, La Rochelle, Toulon), les anglais 4 fois ( Saracens, Exeter) et les irlandais 3 fois (Leinster). Comparativement au VI Nations, pour la même période, l'Irlande a gagné 6 fois, l'Angleterre et le Pays de Galles 4 fois, la France 2 fois. Si on s'interesse aux Grands Chelems, France (2010, 2022), Pays de Galles (2012, 2019) et Irlande (2018, 2023)et l'Angleterre (2016) ! A partir de ces titres, est-il possible de tirer des conclusions ? Difficile de dire oui car les enjeux ne sont pas les mêmes. D'un côté ce sont les clubs, de l'autre ce sont les fédérations. Seul point commun, WRC et ERPC engrangent beaucoup d'argent pour payer les représentants et les avantages en nature ! La parenthèse fermée, sur le papier, le Coq a peu de choses à craindre vue la richesse des effectifs et des doublons à chaque poste. Pour autnat, nous avons raté la seule marche attendue celle de 2023, alors que nous sommes trois fois champion du Monde des moins de 20 ! Ce qui fait réflechir sur notre staff aussi talentueux soit-il dans la communication. Le staff des U 20 pourrait être invité pour donner son avis sur les prestations des aînés ce qui, à mon sens, serait une émulation, du bon sens et une ouverture d'esprit sans fracture. Mais, de mélanger torchons et serviettes n'est pas du meilleur effet. Et pourtant, notre rugby est talentueux, avec quelques pépites de très haut niveau, et nous restons friables à tout instant. Quel ets ce grain de sable que nous n'arrivons pas à cerner ? 2027 pointe déjà son nez et chaque nation de l'hémisphère nord se prépare déjà pour cette échéance. Avons nous des plans de marche pour les 3 ans à venir ? Sommes nous capables de renverser la table entre la LNR, la FFR et les instances internationales ? Benazzi a lui aussi raté la marche de Président de WRC et sèchement, un signe ? Avouons le, faire le Coq est une chose, gagner c'est autre chose !
RépondreSupprimerFranchement ce n'est pas le match de la France qui souleva les foules ; les nations britanniques dans leur ensemble ont du matos de 1ère classe aussi . J'ai été désolée d'entendre un commentateur de France2 se réjouir du fait que les Anglais allaient être mâchés après leur match contre l'Irlande et qu'ils auraient du mal à récupérer . Je trouve ça idiot , quel esprit de compétition cela montre-t-il ?! On devrait au contraire espérer que l'équipe adverse arrive en très bonne forme, la battre serait alors un exploit .
RépondreSupprimerLà je regarde la petite finale de hand France-Portugal, et ça fait plaisir de voir les portugais à ce niveau . Ca bouge dans le hand et c'est tant mieux pour le sport, ça oblige à chercher d'autres tactiques, d'améliorer la formation, de mettre tout à plat et de revoir les certitudes .
Ce que le rugby français tarde à faire . Gatland croit en ses jeunes même s'ils ne montrent pas encore leur classe, l'Italie ne se contente plus de faire de la figuration, l'Irlande se renouvelle sans arrêt, l'Angleterre parachève sa mue et l'Ecosse reste dangereuse dans sa folie de jouer .
Et la France ? Elle soigne la forme ; que de fumigènes et de fumée, ça pétarade autour du stade et ça beugle dans les travées . Mais le fond ?
J'ai été surprise par les protocoles à l'ancienne en Ecosse comme en Irlande . Beaucoup de charme en fait . Nous ça fait un peu too much .
La nostalgie te tient à coeur, un peu comme André, toujours plongé dans le passé ! Les traditions se meurent peu à peu. Quand tu vois qu' Auradou et Jegou sont ovationnés, nous basculons dans la moralité liberticide comme pour les J.O. D'avoir été innocentés montre à quel point le peuple du rugby manque de mémoire, de culture, d'éthique et de principes. Avons nous oublié Thomas à Crépol ?
SupprimerEn fait c'est surtout l'américanisation des cérémonies que je n'aime pas, à quand un spectacle type Super Bowl à la mi-temps ?
SupprimerCent pour cent d'accord avec tes réflexions sur les "festivités" françaises totalement hors de propos et les vrais protocoles traditionnels et largement suffisants des Ecossais et des Irlandais. Pour le match en France dont la télédiffusion a due commencer vers moins le 1/4 et le coup de pied d'engagement 1/2 plus tard, son coupé! Epouvantable, inutile, éprouvant, ridicule....Merci Max Guazzini.
RépondreSupprimerA Biarritz un joueur "fortement alcoolisé" a mordu un coéquipier à la joue lors d'une soirée d'après match : 20 points de suture, arcade sourcilière ouverte et plusieurs côtes fêlées .
RépondreSupprimerEt ça continue encore et encore ... Pfff ....
Le joueur, c'est le 9, Pagès, pharmacien, ancien du ST passé à Vannes, pris dans une rixe alcoolique en fin de nuit avec un Fidjien et quelques autres dont on ne dit rien. Le film risque de porter ses fruits. A voir.
SupprimerHandball médaille de bronze pour les Français ; super match avec deux équipes qui se talonnent dès le début . ( 35-34)
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerIci Manu des Bois,
chasseur, pécheur et Cie, je ne suis pas d'accord avec Tautor sur la 3e mi temps. je cais développer un lej plus tard
la troisième mi-temps est indispensable pour la cohésion du groupe............mais avec modération
SupprimerManu,
SupprimerCe n'est pas une partie de chasse, les assiettes sont diététiques, les boissons hydratantes et régénératrices, l'ambiance est musicale, pas de trompettes, ni flonflons. Ce n'est pas non plus la kermesse bien entendu. D'ailleurs n'existent pas d'autres manières pour créer la cohésion ? Allez Manu, au stick !
Résumé du match de vendredi par "Le Pilier", assez bien vu, ma foi. Et drôle. Je rajouterais que, depuis que je vois Gailleton jouer, je pense à André Boniface et, d'ailleurs, il fait un peu comme lui à 20 ans: remplaçant et ailier quand il est rentré. Comme Depoortère, que je connais un peu moins encore, m'a paru brillant et complet, je rêve de la paire de centre qu'ils pourraient former. De beaux gabarits, excellente technique, parfait esprit, tournés vers l'attaque....Tout pour plaire, en somme!
RépondreSupprimereh oui André c'est ce que je disais plus tôt : si tu ne suis pas le Top14, tous ces joueurs sont de parfaits inconnus et il faut du temps avant de les voir en équipe nationale ...
SupprimerIl me semble que Depoortere et Gailleton jouaient ensemble en U 20 et qu'ils furent champion du Monde ensemble en 2023 avec LBB, Paul Coste, etc...
SupprimerHier soir regardé sur l'Equipe le docu sur les "malheurs" du rugby actuel. Bof, bof...Pas assez concentré...un peu touche-à-tout....Mériterait au moins deux visions...A mon avis le secteur entre alcool/drogues et violences diverses et variées était cohérent, le passage au nouveau rugby -des cités- et du problème, à la fois du rugby féminin et du racisme était de trop. Pas de trop en soi, mais à traiter lui même précisément.
RépondreSupprimerDonc, première partie intéressante et, quand même pour moi, à ce niveau, inquiétante. J'ai trouvé la participation de Laporte, son éclairage sur l'ensemble de ces problèmes: professionnalisme, nombre de matches, augmentation des chocs, traumatismes, soutien aux joueurs, enterrement du vieux rugby....intéressante. Bien, en général, les témoignages en clair: la femme d'un joueur, l'ancien seconde ligne de La Rochelle, l'entraîneur de Béziers, bizarrement interrogé par téléphone devant la Gare de Lyon, alors qu'il se sont côtoyés à Béziers(?)...Bref.
Bref, donc, un peu long au final et trop de points traités un peu sommairement du fait. Et puis, un peu "tape à l'œil" quand même pour moi, bien que je trouve Sébastien Tarrago plutôt sympa et assez bon dans son genre. Tout çà mériterait des docu plus courts, d'une heure maxi, mais plus précis, plus documentés, étayés....C'est mon avis.
C'est drôle: "expression de remords...,reconnaissance de la culpabilité et conduite avant et pendant l'audience" et hop, 3 semaines au lieu de 6! Ca me rappelle l'école communale.
RépondreSupprimerVu les U 20, victoire logique des champions du monde qui nous ont dominé quasiment 80 minutes. 3 jaunes, 5 minutes de sursaut fin de 1ere mi-temps, des blessés comme la pluie, bref à notre place. La relève est là chez les British. Les futurs "crunch" auront de la saveur à coup sûr. Dans les cinqs minutes jouées, on a montré nos qualités hélas entachées de trop de fautes infantiles, un mal récurrent bien de chez nous. La 3e mi-temps va donner de la cohésion hein Manu des bois !
RépondreSupprimerMais, au fait, d'où vient le terme "Crunch" ? Son origine demeure incertaine, et le temps n'a pas aidé à établir le moment exact où l'expression a été employée pour la première fois. Certains assurent qu'elle a été utilisée, dès 1906, en marge du premier France-Angleterre (8-35), joué au Parc des Princes. D'autres avancent qu'elle est apparue, bien plus tard, en 1981, dans les colonnes du quotidien irlandais The Irish Time. Bref, vous l'aurez compris, chaque théorie a ses partisans, sans que l'on sache qui dit vrai. De quoi nourrir un peu plus, s'il ne le fallait, la légende de cet antagonisme franco-anglais, qui perdure depuis plus d'un siècle. Pour ma part, the "Crunch" me fait penser à la barre de chocolat au lait avec du riz soufflé ! Rien de plus, rien de moins. Enfant, personne n'en parlait, tout au plus, on citait "la Perfide Albion". Bon, France Angleterre, un passé historique chargé : Waterloo, Trafalgar, Jeanne d'Arc, Marie Stuart, de Gaulle, ah j'en oublie sûrement mais bon, toujours agréable de partager "a cup of tea" ou "une bouffe" !
RépondreSupprimerTerme qui signifie " moment crucial" un super momentum en quelque sorte, c'est utilisé depuis 1981 probablement inventé par un journaliste Irlandais . Cela contribue à rendre la compétition plus accessible aux non pratiquants du rugby .
SupprimerHistoriquement c'est sans doute la Calcutta Cup créée en 1879 qui est le trophée le plus étonnant du Tournoi, entre l'Ecosse et l'Angleterre avec une Coupe à 3 anses comportant des cobras et un éléphant .
"le fighting spirit" était anglais malgré toutes les fautes de mains, les erreurs de jugement, les mauvais placages, les essais vendangés, il en fallait pas plus pour que les anglais gagnent. Les touchent furent calamiteuses, aucune action propre au dessus du 10, des lignes arrières qui n'ont pas plaqué pas, Ramos était moins lucide que d'habitude et nos contres furent le symbole du n'importe quoi avec des essais de raccrocs. En 2e mi-temps, nous avons été bousculé sans cesse, incapables de s'organiser proprement. Conclusion, pas de Grand Chelem, tout au plus un tournoi
RépondreSupprimerC'est à peu près çà. Juste dire quand même que; sur un des derniers essais anglais, après une pénalité de Ramos je crois, quasiment tous les joueurs anglais à droite de l'ouverture qui engage sont hors jeu d'au moins un mètre pour la plupart, sinon deux pour certains! D'où mauvaise réception française, récupération anglaise et essai! Je dis tout çà de mémoire....A vérifier....Arbitre très correct par ailleurs.
RépondreSupprimerToutes ces fautes "actuelles" autorisées -introductions en seconde ligne en mêlées, touches pas droites, en-avants systématiques dans les mains à mains et les remises à l'intérieur, hors jeu sur renvoi, donc etc.- avec cette volonté d'accélérer le jeu pour le rendre spectaculaire, m'ennuient profondément. Soit on applique les règles, soit on les change et on les applique sérieusement. Mais toutes ces remarques sont générales et n'interviennent pas ou quasiment pas dans l'analyse globale du match qui sera très certainement faite par les spécialistes.
Comment expliquer une défaite ? Quand, à la mi-temps, tu n'as pas mis 3 essais imparables, que tu rates une pénalité, que tu ne plaques pas où mal au moment le plus crucial, le doute s'est installé dans ta tête et c'est cuit. La 2e mi-temps confirme mes propos. Des remplaçants petits bras,, un coaching décousu inhabituel, des joueurs trop sûrs de leurs valeurs, une charnière qui n'a pas pesé sur l'adversaire. Ça fait quelques matchs, comme au Stade, que Dupont porte trop le ballon et ne voit des solutions que par lui. Heureusement, nos ailiers ont su montrer leurs talents contenus. Comme tu dis André, Galthié est l'entraîneur des rendez vous manqués. Sûrement excellent technicien, reconnu comme tel, mais il lui manque cette étoffe celle d'un grand. Ce XV de France est devenue une team de stars qui n'a plus faim. Bravo aux anglais qui n'ont rien lâché malgré les péripéties des buteurs. Le coaching de fin de match a été payant sans conteste. Belle soirée.
RépondreSupprimerOui, bon résumé de la situation, mon cher Tautor.
RépondreSupprimerIl ne fallait pas être grand clerc pour penser que les Anglais arriveraient en conquérants revanchards après leur rouste de 2023 à Twicks, hé ben non y'en a qui dans notre staff ont pensé qu'on allait gagner parce qu'on est les plus forts . Surtout en gueule .
RépondreSupprimerA propos de staff il serait temps de dégraisser le mammouth, allez soyons magnanimes : ils sont 32, on leur en laisse 24 . C'est largement suffisant . Sérieusement Ibanez que l'on voit taper dans le dos des joueurs quand ils sortent du vestiaire, ça revient cher la bourrade, fût-elle affectueuse et déterminante !
Sinon j'ai bien vu tout ce que vous dîtes, j'ai surtout vu des Anglais courageux, travailleurs et appliqués . J'ai toujours préféré l'approche anglaise du jeu et s'il faut chercher du style, pardonnez moi mais une course de Slade est infiniment plus élégante qu'un énième galop de Penaud .
Enfin je me demande si cette habitude de changer les joueurs français de poste à chaque match ne finit pas par peser lourd .
Jean Baptiste Gros a parfaitement rempli son rôle, une fois de plus . Et Alldritt revient bien .
Merci Gariguette pour le post de Sud Radio ou Daniel Herrero pose la question de l'évolution du XV de France sous l'ère Galthié et de son projet. Cela confirme mon propos et mes pensées citées un peu plus haut. Quand l'EDF ne gagne que 2 grands chelems depuis 2010, que nous perdons en 2023 en quart de finale de la coupe du Monde à domicile, que nous avons le meilleur joueur de la planète rugby et que soi disant Galthié est le meilleur technicien français, nous n'arrivons pas mentalement à passer l'obstacle des matchs difficiles ou à enjeux. Pourquoi ? Très simple à mon humble avis, c'est que nous surcotons nos joueurs, excellents voir brillants devant l'infiniment petit comme le Pays de Galles et remis à leurs justes valeurs devant l'infiniment grand. Quand les journalistes s'amusent à composer le XV mondial, peu de français excepté Dupont. Le même, qui a touché au sept, pense trop souvent qu'à lui seul il va renverser la table. Il s'est enfermé dans ce méli-mélo de XV-VII ou finalement, il ne donne pas la plénitude de sa vision. Il va falloir revenir à des concepts moins élaborés mais tout aussi efficace, la balle à l'aile quand on voit Bielle Barrey surclassé dans son ensemble tous ses adversaires en jouant à la main ou au pied. Je ne parlerais pas de Penaud, roi du travers, mais à mon sens bien moins efficace en bout de ligne du fait de sa lourdeurs au démarrage. Nos centres ne brillent pas tant que ça, sont souvent à la hauteur de D<upont pour partir au ras. Tu le fais une fois dans le match pas deux. Demi d'ouverture, un poste devenu difficile tant il est devenu la courroie de transmission du 9 qui l'exploite ou pas ! Pa vu une seule attaque hier du 9 jussqu'à l'aile dans la pure tradition du rugby joué debout. Et cette putain de manie, merci Fickou, de vouloir y aller tout seul, en toute circonstance, même Dupont fait pareil. Un point crucial que personne n'a soulevé, c'est la performance physique. Nous avons débuté en trombe comme chaque fois pendant 30 minutes et si ça se corse, nous nous délitions dans le combat avec beaucoup d'approximations. Les anglais que nous raillons souvent ont tenu 80 minutes renversant la table alos que nous avions match gagné en serrant les boulons. Impensable et pourtant c'est arrivé avec une facilité déconcertante. Nous n'avons pas de réservoir de joueurs de niveau international, faut bien se l'avouer. Un système de jeu qui repose sur une icône est un leurre, pire le faire jouer en 1à est une erreur. Le Garrec, avant dernier du top 14, fût transparent. Il est temps là aussi d'arrêter de faire des allers retours du club à Marcoussis, fragilisant mentalement un joueur qui n'est là que par défection sur blessure ou carton rouge. En fait, il va falloir rapidement revoir la copie au sein des clubs avec cet afflux massif d'étrangers qui bloquent des postes ou les jeunes vont faire banquette. C'est à la FFR et à la LNR de redéfinir le nombre d'étrangers y compris des Jiffs pour permettre à nos U 20 de s'épanouir en clubs et d'être sélectionnables en équipe nationale. Avant hier, devant les anglais, nos U 20 ont souffert ne montrant leur potentiel que par bribes. Les coachs feraient ils du copier coller ? Même si l'Irlande perd un match, nous pourrions gagner par défaut le tournoi ce qui va encore cacher un plus nos défauts dans l'alégresse la plus totale.
RépondreSupprimerEn tout cas, çà vous "daly" les langues.
RépondreSupprimerExcellent.
SupprimerEn fait tu fais un copier coller avec le voisin Pom 🙈 déçu.
SupprimerJe regarde la saison2 de la série Netflix sur le Tournoi, soit le tournoi 2024 . On voit parfaitement ce que tu expliques Tautor, des anglais qui s'entraînent durement jusqu'à se blesser ( Marcus ) avec un Borthwick apprécié car pas péteux ; il les impressionne beaucoup par sa taille certes mais surtout par ses entretiens en tête à tête, entretiens redoutés car il ne leur passe rien . Mais tout est dit . Les Italiens sont formidables de sympathie, là ils découvraient Quesada ; la série les montre dans leur décor familier et c'est somptueux telle cette partie de "calcio historico" l'ancêtre du rugby pour eux, en habits Renaissance et en "bouffes" bien 21e ! les jeunes Gallois sont attendrissants chouchoutés par un Gatland paternel et d'anciens joueurs attentifs comme North . Les Ecossais sont admirés par tous en raison de leur vitesse et de leur simplicité . On les voit en famille avec les grands-parents et avec des supporters subjugués .
RépondreSupprimerEt les Français alors ? Ben on les voit peu, comme dans la saison 1 ils n'ont rien à dire ou presque, aucun trait ne ressort . Peu aimés des autres, ils sont un mal nécessaire du Tournoi ; rien à voir avec l'affection qui relie les autres équipes une fois le match terminé . J'ai pu lire ici ou là des articles de presse étrangère qui montraient le peu d'intérêt que l'ovalie nous porte ; faudrait peut être corriger ça .
Si c'est vrai, d'une part, çà pourrait expliquer beaucoup de choses, mais que çà serait vraiment triste d'autre part. Au fond, çà voudrait dire que ce que j'ai toujours ressenti du rugby de "chez nous", d'avant le professionnalisme je veux dire, c'est que nous nous y étions jamais vraiment adapté.
RépondreSupprimerC'est pas faux ; je me disais c'est parce qu'ils parlent tous anglais mais quand on voit comme les Italiens sont acceptés ...
SupprimerOui, mais Rome c'est beau et ils perdent toujours!
RépondreSupprimerA la lumière des deux premières journées, Angleterre, France, Irlande d'un côté et Ecosse, Galles, Italie de l'autre. Un peu comme d'habitude, finalement, ces dernières années.
RépondreSupprimerAil ! Tel est le titre de la chronique sans savoir que la perfide Albion allait nous remettre à notre place et comment. Un match référent à bien des égards. Tout d'abord, une contre performance physique, tactique et émotionnelle. Avons nous des joueurs, à tous les postes, de niveau mondial ainsi que le banc ? La réponse, pour ma part, est non sans aucun doute. Chacun pourra faire un commentaire circonstancié s'il le souhaite. Là où Dupont est incontestable à son poste, tout le reste est critiquable en vue de 2027. 3 ans c'est long, des blessures vous effacent des ardoises, des jeunes pépites arrivent et la construction devient complexe. Penchons nous sur le fond de jeu, hermétique au possible avec Shaun Edwards qui a résigné jusqu'en 2027. Puis est arrivé le jeu par dépossession signé Galthié perdant Labit et Ghézal sur le chemin. Un signe car aujourd'hui, le jeu reste figé sans titres. Et de voir l'Irlande cet après-midi, nous sommes loin du compte. Chez eux des jeunes dans chaque ligne mais toujours la même recette, les écossais peuvent vous en parler. Quand on voit le Stade Toulousain, on a du mal à comprendre qu'il n'en soit pas ainsi à l'étage supérieur. Le système Galthié n'a pas démontré une quelconque efficacité durable avec des titres attendus. Autre point, c'est Dupont qui s'enferme dans son jeu à XV ou à VII en s'éloignant des standards quand je vois le 9 irlandais. Il se coupe bien souvent de l'attaque classique pour privilégier le 11 ou le 14 via le 15. Est ce normal ? A Twickenham, ce fut la faillite. Parlons de Jalibert. Pas mauvais en attaque pour les quelques ballons touchés, une passoire en défense et plus globalement assez transparent. Il faut dire que rien ne l'épargne, des allers retours récurrents de Marcoussis à Bordeaux, de n'être que remplaçant et finalement de peu jouer. Le capital confiance est entamé chez un garçon fragile de base pour l'avoir approché de très près. Je ne peux pas en dire plus secret médical oblige. Mon interrogation est de savoir combien de joueurs de niveau international nous avons ? Il est grand temps de préparer l'avenir FFR LNR en limitant le nombre d'étrangers en club afin de permettre aux jeunes d'éclore. Il y a donc de l'ail sur la planche.
RépondreSupprimerLe travail, le travail, le travail! Ce que je vois du jeu des Irlandais c'est la répétition ad nauseam - pardon Louis BB - des combinaisons toujours les mêmes et ça fonctionne . les Anglais c'est pareil et d'ailleurs ces deux équipes ne changent guère, il faut vraiment une grosse blessure pour qu'un titulaire avéré soit remplacé . Sexton a joué tous les matches pendant des années, Finn Russel prend le même chemin, les identités du jeu anglais, écossais ou irlandais sont fortes, elles sont inébranlables .
SupprimerNous ça défile sans cesse, jamais les mêmes, l'ossature de l'équipe évolue trop, les postes interchangeables tu parles ! Roumat, un 2e ligne ? Ben voyons !
Donc une équipe mouvante, pas fixée qui n'a pas les automatismes ou alors fugitivement s'ils jouent ensemble en club . Ca pourrait être une doctrine française, celle du French Flair mais ça paraît surtout être un meccano géant, du bricolage sans vision à long terme . On a le recul nécessaire à présent pour étayer ce qui a toujours été pour moi, intuitivement, une certitude : Galthié ne gagnera pas .
C'est pas sérieux .
Sur ce dernier point, malheureusement, je le ressens comme toi: Galthié a toujours eu des difficultés à conclure malgré de gros parcours. Champion de France comme joueur et entraîneur avec le Stade Français..., et encore, il me semble qu'il était blessé en tant que joueur.
RépondreSupprimerGariguette, les derniers commentaires dans la page d'à côté doivent te remplir de joie: en particulier le dernier de Marc Germain!
RépondreSupprimerEcoute, c'est pas faute de l'avoir claironné sans cesse ! Mais ça me navre d'avoir eu raison trop tôt ; ça ne me remplit pas de joie . J'ai horreur de ces pertes de temps . La prochaine fois faudra me consulter !!!
SupprimerEt je viens de lire "LE PILIER", idem!
RépondreSupprimerLu aussi Ovale Masqué, pas mal dans le genre barjot .
SupprimerCe n'est pas pour enfoncer Galthié ( mais non ! ) mais avoir cru jusqu'au bout que Ntamack pourrait jouer ... ça ressemble à de l'amateurisme . Déjà avec le MHR lorsqu'il était coach il avait fait une grosse bavure car il ne connaissait pas le règlement . C'était gênant .
RépondreSupprimerEt donc Jalibert -trop vite enterré par Lartot - restera encore . Tant mieux je l'aime bien .
J'ai fini la série de Netflix sur le Tournoi 2023 : c'est remarquable . On voit un peu plus Galthié dans les derniers épisodes mais franchement ... il m'inquiète ce gars . Voilà qu'il se prend pour un philosophe, énonce des sentences, avise un arbre à Marcoussis " cet arbre me parle ... " . Les joueurs sont muets, en catalepsie devant le grand gourou ; une psy leur fait dire leurs émotions . Tout est dans l'intériorité et la réflexion . Le jeu ? Ben ... pas trop le sujet . Dans le même temps les préparations des Ecossais, des Irlandais et Anglais sentent la sueur, l'effort conjugué . C'est magnifique ; de vrais athlètes en comparaison avec nos penseurs .
Attention les doutes affleurent parfois, ainsi Van Der Merwe doute de tout ou presque, ce qui fait bien marrer son pote Finn Russel, pas un travaillé du chou, lui . Sa recette pour gagner un match " il faut marquer plus de points que les autres " .
Ils sont tous malades de ne pas être sélectionné - North en particulier explique sobrement ses états d'âme, c'est la fin de sa carrière, il finit d'ailleurs par se péter le tendon d'Achille . Point final .
Joe Marler aussi vit son dernier Tournoi, très lucide, il soutient les copains , chambre Marcus Smith, il sait que d'ici un an plus personne ne le reconnaîtra .
Bref on passe des uns aux autres ; des mecs bien pour la plupart . Holala, voilà que je vais recommencer à croire aux valeurs ?!
Je continue de penser que, depuis 2015, c'est quelqu'un qui connait parfaitement le rugby sous "presque" tous ses aspects. C'est ce "presque", qui apparait régulièrement sur la durée de ses mandats, qui pose question. D'une façon récurrente, çà coince. Où, quand, comment, pourquoi? That is the question. C'est un peu comme la pièce d'Eugène Ionesco "Amédée ou comment s'en débarrasser" dans laquelle un personnage mort et caché apparait et grandit dangereusement. Je pense qu'il est pris dans ses propres démons: lesquels? Mystère. Bizarrement, au vu d'un certain capital sympathie que je ressens, c'est dans les conflits humains, personnels et interpersonnels qu'il semble dérailler. Si, comme dans Amédée, son démon continue à se développer et vient manger son côté qualifié et positif, tout cela ne présage rien de bon. Je trouve, pour prendre un exemple, que la gestion de ses "finisseurs" n'est plus cohérente. Je daterais très précisément le moment ou il a commencé à "coincer": le jour du 1/4 de finale perdu d'un point contre les Springboks; dans lequel je dirais sans développer plus, que l'entraîneur des Boks, Jacques Nienaber, lui "a mangé la laine sur le dos"!
RépondreSupprimerA propos de ses "démons", je ne peux m'empêcher de repenser au personnage obsédé de mathématique, d'esprit scientifique dont parle Claudio Magris dans "Danube". Il parlait "d'angoisse défensive et autodestructrice" (page 194). C'est là, je pense, qu'il déraille. Il doit certainement utiliser "des chiffres" -l'esprit de géométrie- pour contrecarrer ses doutes....au lieu d'aller vers l'humain, le sensible -l'esprit de finesse- et faire confiance à son entourage et à ses joueurs dans une certaine communion plutôt que dans l'étalage de constructions logiques.
RépondreSupprimerC'est tout à fait ça : son amour des "data" l'empêche de voir l'essentiel, la pâte humaine . c'est curieux car il n'a pas toujours été comme ça . Je me souviens que lorsqu'il était consultant il était plutôt sympa et marrant avec ses acolytes . C'est tellement drôle de voir le contraste avec les autres équipes du Tournoi et leurs coaches respectifs .
SupprimerJe me souviens d'une page de L'Equipe entièrement consacrée à Galthié et à ses influences. Il parlait, documents à l'appui, de sa découverte de je ne sais plus quel système totalement chiffré qu'il avait trouvé lors d'un stage en je ne sais plus quoi aux Etats Unis, il me semble. Je ne me rappelle plus du créateur/mentor de cette technique d'étude d'à peu près tous les secteurs de la vie...C'était il y a au moins dix ans. Ce dont je me souviens c'est d'avoir été intéressé dans un premier temps et puis un peu surpris dans un second temps. On devrait pouvoir retrouver le créateur et son "invention" en cherchant un peu, mais j'avoue ne pas être assez intéressé pour me lancer là dedans.
RépondreSupprimerC'est un peu comme dans un de mes domaines d'intérêt, Freud et le Psychanalyse, par exemple. Et tous les dérivés qui ont suivis -en provenance pour la plupart, là aussi des U.S.A.- simplifiés, accélérés, plus pragmatiques, éliminant toutes les profondeurs, les complexités, les finesse, pour aboutir à une sorte de mécanique pouvant résoudre rapidement toutes les questions et tous les problèmes: du genre "Analyse Transactionnelle", "Gestalt", "Hypnose", "PNL", "EMDR",....pour celles qui me viennent rapidement à l'esprit. Ca peut être intéressant, fonctionner pour certains cas, certaines situations, mais ce ne sont pas la panacée et s'y accrocher et s'y référer uniquement et en permanence serait une grave erreur.
Maintenant; je ne connais pas du tout Galthié et son fonctionnement et donc, je ne trace ici que des suppositions à partir de quelques éléments disparates et un certain ressenti. A suivre...
Je pense qu'il s'agit de la sabermétrie ; un système reposant sur l'étude fine des statistiques des joueurs . Cette façon de voir le sport a été popularisée par le film "le stratège" avec Brad Pitt, retraçant la vie de Billy Beane, un coach de baseball convaincu par un statisticien de recruter différemment les joueurs . Ce système a environ 20 ans et est devenu très à la mode dans de nombreux sports .
SupprimerLes Américains en sont un peu revenus, ils en voient les limites, un propriétaire d'équipe a ainsi déclaré : " « Tout le monde a les mêmes stats, il faut donc compléter avec le scouting [dépistage] traditionnel. Les équipes qui sont en mesure de développer un modèle qui jumelle les statistiques avancées avec l’information et l’évaluation traditionnelle s’en sortent le mieux ». ce qui me semble très sage .
Comme d'ordinaire, ma réponse, "travaillée" s'est évaporée à la suite d'une fausse manœuvre. Ca ne me touche plus trop et, plutôt, çà me signale mon état du moment. Cette sorte d'excitation, de frénésie m'entraîne assez souvent vers ce genre de maladresse: à l'image des joueurs du XV de France ce dernier samedi? Je ne sais pas, mais cette récurrence n'est jamais hasardeuse. Je vais rouler et reviendrais la tête rafraîchie je l'espère.
RépondreSupprimerJe donne juste ma dernière réflexion, triste, à propos de Grenoble. Comme le disait Pierre Desproges en son temps: "Les rues de Paris ne sont plus sûres". Aujourd'hui je le plagierais en disant que les bars de Grenoble ne sont plus sûrs! Quelle horreur et quelle tristesse! Je t'espère loin de là. Mais, quand même, l'atmosphère générale est bien lourde. Sans doute augmentée par l'insistance des médias en général -Le Monde compris- tellement lourde et si orientée sur tous ces faits plus si "divers" que çà: sociétaux, plutôt!
La petite sortie m'a plus provoqué un trou d'air qu'une motivation toute neuve pour reprendre mes dernières réflexions/divagations disparues. Cà ne devait pas être si important....
RépondreSupprimerEn trois mots:
-Oui, les chiffres sont un outil à condition d'en sortir.
- En relisant "Underground" d'Haruki Murakami, cette sensation de se décérébrer dans une secte (Aum), en croyant une doctrine (enseignement de la vérité suprême) et en suivant un leader/gourou (Shakö Asahara), j'ai relu, autour de la page 340 (sur plus de 500) une analyse criante de vérité sur ce qui se passe aujourd'hui de façon générale et un peu dans le rugby français en particulier. Du coup, dès que j'ai fini ce bouquin, je vais reprendre la trilogie "1Q84" en partie inspirée de cette attaque au sarin le 20 mars 1985 dans la métro de Tōkyō.
- La Sabermétrie et le film "le Stratège", je m'en souviens. Mais pour ce qui est de Galthié, je pense que c'est encore autre chose qu'il a découvert lors d'une partie de son cursus (aux Etats Unis?). Je pense que c'est la "Human Capital Analytics", mais à confirmer.
Cà me rappelle routes les techniques plus "rapides et efficaces" dérivées de la Psychanalyse Freudienne, trop longue et élitiste, du genre: la "Gestalt thérapie", "Biodynamie", "Analyse Transactionnelle", "E.M.D.R;"...j'en passe et des meilleures.
https://www.capital.fr/votre-carriere/fabien-galthie-ameliorer-les-performances-ca-me-connait-1153402
SupprimerJ'aurais pu y penser puisque CapGemini c'est Serge Kampf et donc Grenoble !
A lire l'entretien, c'est assez proche de mon autre référence . Mais honnêtement tous ces machins liés au développement personnel ça me gonfle . Mais j'encourage FG à relire son interview notamment le dernier paragraphe "les AllBlacks ont ensuite défini et mis en place l'équipe idéale en termes d'âge, d'expérience et de préparation individuelle, pendant les quatre années précédant la compétition suivante. Qu'ils ont remportée ! Limitation du turnover pour stabiliser un collectif, constitution de l'équipe, développement personnalisé : le parallèle avec l'entreprise est évident !"
Bon je ne doute pas du bien fondé de la méthode AB mais je crois que sur la route, FG a un peu perdu leur méthode de vue !
Oui, c'est çà...Je viens de lire rapidement le sujet proposé et c'était bien ce que j'avais lu il y a quelques 10 ans...Que le rugby est loin là-dedans!
RépondreSupprimerL'acronyme SABR de sabermétrie n'est pour moi qu'un pourcentage infime des échecs répétitifs de Galthié. Il cite souvent, non sans un savoir faire ou un faire savoir qu'il est l'entraineur avec 80% de victoires et personne ne lui a parlé des 20% restants de défaites ! Les pires, les plus cruciales, qui, depuis qu'il est là en 2019, nous a fait gagner un tournoi en 2022 et rien d'autre. J'ai plutôt envie de creuser là que de parodier l'ensemble des critiques qui s'attaquent aux faibles comme Jalibert ! Il s'est construit sur la dépossession, sur la défense avec Shaun et sur le préparateur physique maintenant à l'UBB le Pr de la performance Giroud. En fait de performance, il a cassé beaucoup de joueurs notamment dans les moments clés, remis à sa place par les préparateurs de l'Afrique du Sud. Shaun Edwards, Prince de Galles, à l'époque encore de l'âge d'or, a su donner cette rigueur défensive qui nous faisait défaut depuis longtemps nous coutant des victoires. Et nous avons accouché de gros bras genre Fickou, Danty, des coffres à ballons, nuisibles pour l'esprit du jeu et pour l'image d'intellectuels affinés. Et la cerise fut la dépossession, le truc magique que je n'ai jamais compris qui rendait un match plus austère que vivant. C'est bien beau de piquer les meilleurs joueurs au Stade Toulousain, à La Rochelle ou à l'UBB et de boucher les trous avec les fils des copains d'antan qui, en clubs, jouent le bas de tableau de top 14 bien loin du niveau international. On ne va pas non plus revenir sur les quiches d'Amérique du Sud, symboles de l'alcoolisme aigue, des stupéfiants et de la pornographie ! Ce sont de bons gars, un peu émoussés pour jouer aux lords à Twickenham. Et sur ce match, le stratège a parlé, sûr de lui en fin de 1ére mi-temps malgrè 3 essais dilapidés a fait confiance à des joueurs déjà perdants mentalement et dont le coaching fut calamiteux. Mais en fait, incosciemment, l'équipe a perdu autour de Dupont alternant le concept du XV opposable à celui du VII. Qui peut suivre ? Personne car trop complexe, pas habitués, face à des anglais classiques, laboureurs et tenaces. Bien sûr, l'Italie ne sera qu'une partie de pétanque, une pécadille avant Dublin. Là encore c'est faire offense à l'adversaire, c'est anti sportif à souhait et hélas ça ne changera rien à la finalité de ne pas avoir fait le Grand Chelem.
RépondreSupprimerUne enquête faite près de 1O anciens demi d'ouverture du XV de France sur le choix entre Ramos ou Jalibert en 10, réponse logique Jalibert. Fin des débats sur une question qui n'en est plus une. Si Ramos fut demi d'ouverture en Crabos et champion avec le Stade, de retour de prêt de Colomiers, il a fait ses classes à l'arrière au Stade. Actuellement, c'est un arrière de métier reconnu sur le plan international et un bouche trou en 10 comme Dupont ! Est-il possible d'être aussi polyvalent à certains postes compte tenu de la technicité demandée actuellement ? Quand je vois Roumat en 2e ligne je pleure. Ce garçon est au top en 3e ligne centre son poste prédictif. Tous ces arrangements dénotent la pauvreté des remplaçants et montrent qu'il urge d'assainir en amont. Pas plus de 3 étrangers par club toutes manipulations confondues. Il faut faire la promotion des écoles de rugby, soutenir tous ces bénévoles qui retournent la terre depuis tant d'années pour certains pour donner le gout aux jeunes de passer l'obstacle des U 20 et de ne plus faire banquette en top 14 ou Pro D2. D'avoir viré Gatland n'est pas le vrai problème, peu de clubs professionnels au pays de Galles, un réservoir des plus faibles et donc peu de chance de briller à l'internationale. Le pouvoir corrompt les fédérations et cette culture des écoles de rugby s'appauvrit inlassablement. Jalibert a besoin de confiance, peut-être d'un suppositoire ! pour passer ce cap de l'incertitude.
RépondreSupprimerUne pensée aujourd'hui pour Medhi Narjissi et sa famille qui aurait eu 18 ans.
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec toi sur à peu près tout de tes deux derniers textes: le bémol, c'est que, le rugby étant le reflet de la société en général, subit et recopie, depuis le professionnalisme, les mêmes schémas et les mêmes erreurs que cette dernière. Donc, tes demandes, tes conseils etc. reviennent à changer le monde! Ce qui va être très dur....Mais gardons espoir en quelques bonnes âmes du genre Claude Onesta car, je le crois et je le pense, les grandes personnalité peuvent faire avancer les choses.
RépondreSupprimerEn fait, je dis n'importe quoi: c'est encore possible.
RépondreSupprimerTout est possible, oui, statistiquement, tu es probablement dans la moyenne, celle qu'affiche Galthié avec aisance ! Plaisanterie à part, Onesta est une référence en handball précédé de Constantini qui a fait le nid de décennies de victoires. Le sport en France est un peu orphelin de tout dans presque toutes les disciplines. Je me souviens de 1968, les Jeux Olympiques de Grenoble, deux leaders naturels, Killy et Goitschel qui ont été les moteurs d'une quirielle de grands champions, puis le désert, pour quoi ? Je n'en sais rien. A quelques exceptions, c'est un sport ordinaire ! Nous sommes plus prolixes en ski de fond ! Va ainsi de tous les sports avec des sinusoïdes selon les époques et les hommes pour fédérer. Nous ne sommes pas gâtés en rugby.
RépondreSupprimerLe moteur d'origine, comme Daniel Costantini en hand, a été Honoré Bonnet pour le ski français. Et comme Robert Bobin pour l'athlétisme qui a su s'entourer de grands entraîneurs spécifiques. A l'image de Joseph Maigrot pour le sprint (d'où l'école française du 4*100m), André Daniel pour les sauts (que j'ai bien connu quand je jouais au Stade Français), Roger Thomas pour le 1/2 fond (voir par exemple le document de l'INA "Volodalen", dans les "Coulisses de l'exploit " 1963, mais aussi tous les autre lieux naturels comme les dunes de sable australiennes de Percy Cerutty -document INA 1962 , et les plateaux d'entraînement, naturels eux aussi des Ethiopiens et des Kenyans....). Jacques Dudal pour la perche et les lancers, Jo Malléjac et d' autres encore... que j'oublie.
RépondreSupprimerA noter cette influence de quelques hommes (comme en rugby le duo Serge Saulnier-Jean Prat) amplement suffisante, cette simplicité dans les rapports humains et, par dessus tout, le travail, tout aussi intense qu'aujourd'hui en milieu naturel. Que l'on est loin du "chiffre" et de la mécanisation actuelle.
Et ce n'est pas, comme tu vas certainement me le reprocher, de la nostalgie d'un vieillard. Non, c'est la conviction d'une dérive misérable et malsaine des choses de la vie et vers laquelle, cette vie, cette simplicité naturelle, il serait bon et même urgent de revenir. Dans le sport en particulier, et dans la vie en générale, mais ceci est une autre histoire.
Dans le petit documentaire sur Volodalen, un des participants français était le coureur de 400m plat, Jean-Pierre Boccardo (1942- 2019). Je te le signale car il a fait ses études de médecine à Toulouse, s'est spécialisé dans la Chirurgie Vasculaire et est devenu "PDG d'une clinique toulousaine". De ce fait, il est possible que tu l'aies connu. A un moment, il discute avec Guy Lagorce, grand sprinter, devenu journaliste à "L'Equipe" entre autres et écrivain par la suite. Encore une fois, quelle simplicité, quel naturel! Une autre époque à coup sur!
RépondreSupprimerBoccardo, chirurgien vasculaire, oui je l'ai connu quand je me suis installé, il finissait sa carrière.
RépondreSupprimerIl y a eu aussi comme toulousain connu,Jacques Turblin, pré sélectionné pour les Jeux Olympiques de Rome (1964), ancien champion de France universitaire de demi-fond, plus tard recordman de France catégorie vétéran en marathon (80) bien connu des Toulousains, un des premiers à s'être installé uniquement comme médecin du sport. Son fils, Philippe, médecin du sport aussi, est toujours le médecin de Colomiers et fut celui du XV de France jusqu'à la coupe du monde 2023. Voilà pour les infos locales !
RépondreSupprimerSur les JO en ski alpin, Killy et Goitschel ont dominé sportivement parce que la sélection française était une vraie sélection, c'était très dur d'intégrer l'équipe . ici sur place nous suivions les progrès de chaque champion les deux années qui ont précédé .
RépondreSupprimerIL faut ajouter qu'entrer était dur mais qu'en sortir se faisait radicalement :" ne font plus partie des équipes de France, les coureurs dont les noms suivent : Britt Lafforgue, Ingrid Lafforgue, Jean-Noël Augert, Henri Duvillard, Patrick Russel et Roger Rossat-Mignod." en 1973 les rebelles de l'EDF sont virés par M. Maurice Martel, président de la Fédération française de ski (F.F.S.), il a annoncé cette décision en présence de M. Pierre Mazeaud, secrétaire d'Etat à la jeunesse, aux sports et aux loisirs, de MM. Jean Vuarnet, vice-président de la F.F.S., et Georges Joubert, directeur des équipes de France. Ca ne rigolait pas avec la discipline . Mon chouchou c'était Jean-Noel Augert mais une fois de plus on ne m'a pas demandé mon avis .
Aujourd'hui je comprends mieux les décisions des édiles de l'époque, il fallait ramener le calme et réorganiser les équipes . Je pense d'ailleurs que les faibles résultats d'athlé par exemple sont dus au manque de discipline des jeunes ; on raconte volontiers qu'à L'INSEP tout le monde fait un peu comme il veut, par ex ils sont très bons clients du Mac Do d'à côté quand une hygiène de vie stricte est nécessaire !
D'accord avec André sur un retour à la simplicité, nos fondeurs et autres biathloniens me semblent plus simples dans leur vie par ici, souvent écolos dans leurs convictions ( sans les outrances des écolos politiques) j'ai l'impression qu'au contact des champions scandinaves ils adoptent ce genre de mentalité proche de la Nature et partisan de l'effort . Pour la simplicité, je me souviens des JO d'hiver de Lillehammer en 1994, passionnants et pas du tout show-off, le ski des origines !
Les Bretons en parfait gaulois continuent d'y croire, le R92 de Collazo continue de couler comme fait exprès ? L'UBB ne gagne plus et les Basques n'en finissent de surprendre comme quoi Travers n'a pas forcément sa place, à suivre. USAP CO match nul, tout est dit. Reste la cerise sur le gâteau, le LOU qui humilie LR. Et si c'était une fin de cycle pour O'Gara comme certains joueurs ? Le Président doit attendre marée haute pour que la Caravelle reprenne le large. Bon MHRC RCT avec Ma' A Nonu, une autre époque.
RépondreSupprimer"Les Simone Veillent", association fondée par Madame Lapuerta qui se bat contre les féminicides. Bravo. Elle dénonce les sélections de Jegou Auradou, Tupuola et N'Kinsi de l'ASB mais ne parle point de ceux hébergés au MHRC Hogg, Haouas et Houptakin ! Une bonne initiative certes mais il faut aller plus loin à mon sens. Elle souligne l'attitude de Marques, n° 9 de Béziers, ivre mort lors de la nuit du Rugby, qui a jeté un verre et craché sur une hotesse. L'Ivresse est toujours là plus forte que la moralité et l'éthique de ce sport. Un jeune de 14 ans à Labarthe sur Lèze, revenant de l'entrainement de rugby en scooter a été mortellement blessé par un chauffard en état d'ivresse. sans qu'on précise encore s'il était positif aux stupéfiants. Autre sujet, la carambouille faite sur le dos de Jaminet, roulé dans la farine par le ST et condamné sine die par la FFR pour des propos déplacés mais d'une banlité aujourd'hui affligeante sous l'emprise lui aussi de l'ivresse aigue. Il suffit de demander aux policiers ou gendarmes tous les colibets reçus mais aussi dans les services d'Urgences sous le joug d'insultes racistes plus violentes que ça. La LNR s'est emparée du dossier sur toile de fond élective ! Mr Bouscatel brigue un nouveau mandat à 78 ans et la poire est juteuse en la circonstance, affaire à suivre. Enfin, logiquement le RCT s'est imposé avec le Bic 4 couleurs de son entraineur ! Montpellier 10 e, la chute tout comme le R92 ?
RépondreSupprimerVictoire sans conteste du Stade Toulousain à Michelin avec la manière, la rapidité et la fluidité malgré un jaune. Raka, commotion cérébrale avec saignement non évcué selon les standards de WR, bien la peine de faire des stages ? Du coup, je ne renouvelle pas mon accréditation WR pour les 2 ans à venir. Les jeunes sont époustouflants, Lacombre talonneur, Delpy en 10, Vergé en 2e ligne et Brennan. Jelonch revient à son meileur niveau, Graou toujours pas sélectionné en EDF ? et Mallia, le canonier 100%. A Clermont; Fainga'a et Jauneau se sont montrés à leurs avantages, Urdapilleta a t-il fait l'année de trop probablement car il ne pèse plus sur le match. Urios a compris le chemin qu'il lui reste à faire pour être dans le top 3.
RépondreSupprimer"Rien ne va plus, faites vos jeux" Penaud, Jalibert sur la touche, surprise Ramos en 10, Barré en 15, vaudra mieux gagner avec la manière parce que le Casino risque de fermer. Galthié persiste et signe va t-il faire le casse ? Une impression de déjà vu hélas signature que le poste n'a pas beaucoup de repreneurs. Existe t-il aussi en interne une rivalité entre Toulousains et Bordelais sous la houlette d'Antoine Dupont qui impose ses choix et son jeu ? Il est certain que de déstructurer mentalement un ou des joueurs ne fait pas la cohésion d'une équipe. Donc pas surpris de voir des fautes de mains sur des passes peu ajustées ou trop puissantes voir trop molles ! Verdict à Rome.
RépondreSupprimerDelpy prêté à l'USAP avec effet immédiat ou la traite des joueurs pour arrondir les affaires du salary cap avec Jaminet en compensation ? Dommage, ce jeune est déjà un grand et voir qu'on dispose de lui ainsi ne me semble pas sain. Que se cache t-il derrière le miroir ? A suivre.
RépondreSupprimerC'est 100 000 dollars au soleil ! ( enfin un peu plus je crois )
SupprimerJe lis ici ou là combien tout le monde semble décontenancé par les décisions de Galthié . Y compris ses plus grands supporters .
RépondreSupprimerJe reconnais que les uns blessés, les autres malades, ça doit être difficile de construire un XV qui se tienne . Mais sur la stratégie du banc - 7 avants /1 arrière ! - alors là je suis perplexe . On me dit que c'est copier sur les Boks, sauf que les Boks ont un énorme vivier d'avants monstrueux . Et je ne vois pas un tel vivier en France . Bon vous verrez ; parce que moi je suis en famille sans télé ce dimanche . Heureusement je pourrai voir la Calcutta Cup et je m'en délecte à l'avance .
Finalement je m'en rends bien compte, il n'y a de rugby que Britannique selon moi, nous sommes de pâles copies d'un jeu que nous n'avons pas inventé . Mais en s'appliquant ... qui sait ?
Quand les Britanniques chantent la terre de leurs ancêtres, bien rangés en ligne sur leur île, nous, du tréfonds de nos provinces juxtaposées, nous gueulons à la révolution. Comment veux tu que nous ayons le même comportement et le même rugby. Non; c'est comme çà! Un jour oui, un jour non!
SupprimerNous sommes et restons latins avant tout et peu anglo-saxons. Nous avons un comportement révolutionnaire, frondeur alors même que nous n'avons que peu de titres de gloires. Le meilleur signe c'est que nous n'avons aucun poste important à WR. Une défaite supplémentaire dans le Guinness book.
SupprimerQue dire que de constater ce méli mélo médiatique mais aussi ce poker menteur entre Galthié et les joueurs ? Où va t-on ? Dans le mur probablement. Je n'ai jamais vu autant d'incohérences, autant de critiques ciblées, autant de mensonges, autant de pauvretés verbales de l'ensembles des protagonistes. Le silence assourdissant de la FFR, à tous points de vue, est une des signatures de la faiblesse actuelle que nous traversons. Moi, je suis Jalibert, Penaud et quelques autres, je ne reviens pas à Marcoussis, Merci Monsieur, je reste chez moi, je vous laisse briller tout seul. La tactique reste fumeuse et l'incidence sur le terrain sera le seul juge. Tu as raison, Gariguette, les anglo-saxons restent plus sobres, plus funny parfois mais donnent un véritable sens au mot rugby dont ils sont les inventeurs. Comme toi, je suis devenu plus anglophile que francophile malgré la défaite de City devant le Real de Madrid.
RépondreSupprimerEn conférence de presse, Galthié explique qu'il faut prendre des risques avec 2 n° 9, buteurs, et des 3e lignes qui pourraient jouer 3/4 centre le cas échéant tout comme le 15 ! en cas de blessures. Nous sommes au sommet de l'emerveillement tacticiel ne laissant point de place au hasard. Tout est dit, Quesada doit prendre acte et va se régaler à faire des chandelles pour tuer le jeu de champ des français et concentrer les avants au sol ce qui ralentira le jeu et sera peut être pour les italiens l'occasion de mieux les contrer. La technicité fine va de l'avant tout comme l'ingéniosité qui va avec ! Déjà que la stéréotypie est bien présente et que seul Dupont est capable de brouiller les pistes, nous allons assister à une grande partie d'échec.
RépondreSupprimerA la veille de la Pléiade anglaise, au sein des saints des chants ancestraux, rien de plus beau que d'écouter des peuples fiers de leurs équipes mais aussi de voir que le rugby c'est du fighting avant tout. Quoi de plus beau de sentir cette communion et d'être attendri par ces gazons d'exception. L'histoire des Nations se cache derrière ces maillots porteurs de sang et de sueur. Rien de plus chevaleresque que d'entendre les oiseaux et le coup de pied du buteur qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il bruine. Ces étendards qui ont fait l'histoire de ces peuples ont ce pouvoir magique de fédérer et de ne point oublier ses ancêtres. Ces stades comme Colombes sont l'identité même du pays depuis des décennies. Rien ne change, so British, beer, kilt and cornemuse.
RépondreSupprimerJuste dire, que bien qu'étant un "pro Galthié" depuis l'origine, le 7-1, pour moi, c'est niet! Surtout face à l'Italie contre laquelle il aurait plutôt intéressant de tester un triangle d'attaque plus offensif du style Jalibert (o) associé à une paire Depoorter-Gailleton. C'est mon avis et j'y crois.
RépondreSupprimerPar ailleurs, ce 7-1, c'est un message de faiblesse par rapport à celui des AFS en 1/4 de finale qui, lui, à l'époque, avait complètement déstabilisé et perturbé Galthié. Mais c'est fini....C'est trop tard....Il faut penser et passer à autre chose....Il se trompe de combat...Il est en retard d'une guerre à mon avis pour employer ce terme.
Comme prévu, deux très bons matches très engagés . Des joueurs lancés, des actions éclatantes, ça fait plaisir . Rule Britannia !
RépondreSupprimerBon je dis ça mais en toute honnêteté, j'aurais voulu voir la victoire de ces jeunes Gallois puis des Ecossais mais ... c'était bien quand même . Bonne soirée .
Disons, des matches classiques entre britanniques et, en particulier aujourd'hui, entre les Gaéliques d'un côté et le classique d'origine de l'autre. J'ai suivi le premier d'un œil un peu distrait -car j'ai beaucoup de mal à regarder deux matches consécutivement depuis toujours- et le second plus sérieusement. Intéressant pour des raisons plutôt affectives et émotionnelles....Pas vraiment ni pour la qualité du jeu, ni pour l'intensité...On a déjà vu des matches un peu plus féroces....Des matches entre des gens de bonne compagnie...des gens bien....qui sentaient un peu la naphtaline....Un peu comme mes anciens derbys du genre Racing vs Puc de ma jeunesse et de mes souvenirs. En gros, pas de très grands matches. Nous verrons demain ce que çà va pouvoir donner.
RépondreSupprimerPas de grands matchs, tu rigoles, du jeu, devant derrière, des jeunes gallois un peu tendres mais bond devant la meilleure équipe du tournoi qui a assuré sa victoire avec des pénalités avant tout. Quant aux écossais battus par la défaillance de Russel. Cette équipe, quoiqu'il arrive, est tournée vers le jeu à la main.J'aimerais voir beaucoup d'équipes comme l'Ecosse. Les Irlandais ont récité leur jeu habituel sans prendre de risques malmenés par des gallois que l'on reverra sous peu j'en suis convaincu. Maintenant ST Bayonne une autre vision du jeu dans une ambiance du samedi soir. En gros, un derby !
RépondreSupprimerTout-à-fait d'accord sur l'esprit du jeu. Mais comme le tradition le veut et comme les matches entre britanniques le sont la plupart du temps. Mais, par ailleurs, je le confirme, pas de très grands matches .Plutôt brouillons pour certains (les Gallois)....Fermés pour d'autres (les anglais)....pas mal de fautes en tous genres. C'est vrai qu'une seule transformation réussie par Russell (très bon buteur d'ordinaire) et l'Ecosse passait.
RépondreSupprimerRussell encore sous le coup de sa commotion ? Il faut dire que l'autre victime de ce choc tête contre tête - Dexter Graham - n'a pas pu reprendre . Ou alors une des foutraqueries habituelles de ce cher Finn ? Va savoir ...
RépondreSupprimerLa reprise sur commotion cérébrale (CC) est conditionnée par le HIA2, voir le HIA3 si échec du 2 avec un avis d'un neurologue référencé par la fédération pour la reprise de la compétition. Donc Finn a du s'arrêter au HIA 2 avec reprise immédiate voir avant avec avis favorable. Raka ne reprendra au mieux que dans 3 semaines à un mois. Bon voilà pour la minute CC.
SupprimerC'est dommage parce que c'est un très bon buteur. Il faut quand même dire que les transformations n'étaient pas faciles; toutes à gauche du bord de touche ou presque. La première un peu à droite des poteaux, la seconde, rectifiée, mais trop et à gauche cette fois! Et la troisième je ne sais pas, mais très juste quand même. Conséquence de sa commotion? Je ne pense pas mais je ne suis pas spécialiste. En tout cas il a été bon dans le match....Ca faisait longtemps que je ne l'avais plus vu prendre des initiatives personnelles comme hier.
RépondreSupprimerFinn Russel domine largement de la tête et des épaules son sujet dans une simplicité et une décontraction qui peuvent faire palir bon nombre de demis d'ouvertures. Il est tout simplement le meilleur à son poste actuellement, seul McKenzie, pétri de talent dans un autre registre et Marcus Smith pour sa fulgurance. NTK n'est pas à leur hauteur mais arrive parfois à illuminer le jeu comme pour la finale contre La Rochelle. Finn est le métronome du jeu écossais donnant autant de confiance devant qu'à l'arrière. Une charnière Dupont Russell ne serait pas pour me déplaire. Sinon, un bon buteur a aussi des failles ce qui arrive à Ramos parfois ! Pourquoi ce manque de réussite sur un match ? Difficile d'y répondre. En général c'est multifactoriel et correspond souvent à des matchs difficiles ou la sérénité n'est pas de mise. A mon avis, l'Irlande tient une pépite avec Prendergast dans la lignée de Sexton, ce garçon sait tout faire avec aisance à 21 ans. Je surveille le jeune Delpy prété par le ST à Perpignan avec effet immédiat qui a brillé contre Pau malgré le résultat. Un dirigeant du ST m'a confié qu'il y avait trop de monde au poste de 10 me rappelant avec malice que le Stade à l'époque avait prété Ramos à Colomiers pour faire ses gammes ! Nos jeunes ne peuvent éclore comme il se doit car nous avons trop d'étrangers sur ce poste. Et je pousse le bouchon plus loin, sur de nombreux postes, nous sommes en carence, preuve le retour de Slimani en EDF à 35 ans ! Et nous avons été 3 fois consécutives champion du Monde en U 20. Ou sont -ils ?
RépondreSupprimerCa, c'est la question. Bien qu'il est toujours été dur de passer de Juniors à Seniors: je l'ai très souvent constaté. Et dans tous les sports. Rares sont les très bons jeunes joueurs qui confirment à l'échelon supérieurs. Et ce, pour "x" raisons.
RépondreSupprimerJuste ouvrir une parenthèse, le retour de Jaminet fort justement applaudi par le public, soutenu par ses coéquipiers, logique. Auradou proposé pour un Siffredi d'Or et Jegou pour un Coq d'Or ! Pour boucler le commentaire, au ST ou un tiers de rendre les 450 000€ dus.
RépondreSupprimerFin des débats, devant une Italie qui a pu donner le change 20 minutes après quoi la France a déroulé dans la facilité la plus totale ce qui a donné un match sans intérêt ou chacun a essayé de marquer son essai. Dupont élu homme du match ? Pas sûr, j'aurais vu Mauvaka, Barré ou Attisogbé, tellement ils furent tranchant en attaque mais aussi en défense pour le dernier cité. Rien à dire si ce n'est qu'on a pris 3 essais d'école ou nous étions aux fraises en défense. Match sans enjeu finalement et à Dublin, nous verrons si nous mettons 70 points. A mon sens, nous allons partir avec un excès de confiance en Irlande ce qui est un atout ou une faiblesse. L'avenir nous le dira.
SupprimerJe dis bravo. J'ai bien sûr aimé ce match. Était-il supérieur aux deux précédents? Je ne sais pas. Il a été en tout cas particulièrement agréable à voir: le plus agréable de ce week-end pour moi. Je peux juste dire qu'il était parfaitement ouvert des deux côtés, ce qui convient idéalement à nos joueurs et à notre style de jeu. A l'image d'un match de gala ou de Barbarians. Est-il prémonitoire du match contre les Irlandais? Cà, là aussi, je ne sais pas. En fait, si, je sais quand même que, si le 7-1 que je n'aime pas, a parfaitement fonctionné contre ces Italiens, il ne présage en rien d'un résultat semblable dans 15 jours. Opposition diamétralement différente, "métier" incomparable des Irlandais, dureté du combat qui montera de plusieurs degrés, blessures évidemment imprévisibles etc., etc. C'est le genre de position qui ne se prépare pas réellement du fait du trop grand nombre d'aléas, de paramètres non maîtrisables. Une fois çà peut marcher merveilleusement comme aujourd'hui, soit, mais qu'en tirer comme conclusion?
RépondreSupprimerAttendons donc la suite des évènements.
André
SupprimerL'arrivée de Quesada est un plus certains car avant il y avait des charlots style Brunel. Je les trouve plus performants mais sont toujours en fin de classement depuis 20 ans ! Effectivement, pour les français allés à Rome, match très agréable à coup sûr. Tu as dis le mot un match de Barbarians. Beaucoup de blessés côté italien témoin de la dureté du jeu proposé. Le banc 7/1 a bien fonctionné mais me laisse sur ma faim tout comme les commentaires d'A2. Heureusement quelques crêpes ont permis de donner du goût et de la saveur au match !
Pourquoi A2.? J'apprécie le ton posé de Yachvili, par exemple et, d'une façon générale, la teneur de leur commentaire.
RépondreSupprimerAndré,
SupprimerPro Galthié, Pro A2 ce n'est pas le cas de tout le monde. Tu me diras, il faut bien des commentateurs ! Roger Couderc, Pierre Salviac et Pierre Albaladejo, Jean Abeilhou, Matthieu Lartot et Dimitri Yachvili, Vincent Clerc, Cédric Baudou, le mari de la Ministre des Sports, sans oublier Clémentine Célarié, Cécile Grès, etc. Ces dames sont au placard car il faut faire le ménage ! Fut un temps La Galette avec Lartot aussi ! J'avoue qu'aujourd'hui un seul ne me saoule jamais c'est Daniel Herrero, lyrique, poète, cultivé et passionné plus que quiconque lorsqu'il commente. Finalement, souvent, je regarde le son off au risque de devenir idiot comme nombre de téléspectateurs ! Quand je vais voir jouer mes filles en club ou en universitaire, je revis et je crie ma joie sur le bord du terrain, rien de mieux pour se faire une idée du jeu.
Que retenir de ce week-end rugbystique ? La victoire de la France : non, même si on a vu de bons joueurs cités plus haut ; les Gallois, oui, prometteurs malgré leur défaite loin d'être outrageuse devant des Irlandais minimalistes ; l'Ecosse toujours verdoyante qui perd pour un pied maladroit oui ; le ST, oui, pour cette jeunesse montante, écrasante de facilité et de vitesse ; l'ASM battu et abattue avec des erreurs d'arbitrage de ce que j'ai vu en résumé, Urios est lucide, oui ; Vannes qui souque pour revenir dans la course avec brio, oui ; la différence qui existe au classement entre les trois premiers et les autres situent encore mieux les lacunes de ce top 14 et aussi celles des clubs, oui ; les gorges chaudes de la presse sur une victoire à la Pyrrhus, non ; tout ceci pour vous dire qu'objectivement la fenêtre du plaisir rugbystique se réduit inlassablement et la mièvrerie s'installe au fil des week-ends ! Heureusement, le plaisir de voir quelques individualités qui oeuvrent pour la beauté du geste, pour l'esprit intact du jeu permettent de patienter en attendant le printemps ou l'hirondelle fait son nid !
RépondreSupprimerRien vu dimanche, et finalement c'est pas plus mal . Je regarde donc avec curiosité les avis de tous parfois avec étonnement .
RépondreSupprimerAinsi quel est le sens des vitupérations de Moscato contre Jalibert alors qu'il n'a pas joué ? Et pour continuer dans ce sens c'est pénible ces polémiques incessantes sur un geste manqué ou une méforme . Chacun a ses préférences bien sûr et il est normal de les exprimer mais que de vaines querelles alors j'ai coupé la chique au Moscato - bref j'ai zappé !
J'ai quand même pu voir une belle Calcutta Cup, avec des Ecossais brillants comme toujours mais des Anglais qui la voulaient davantage . Surtout des beaux sourires entre adversaires en fin de match - la mine extatique de Bundee Akhi nez cassé oeil poché ! - et c'est tout ce qui compte .
Figurez vous que j'ai enfin pu regarder sur Netfix le tournoi des VI Nations. Un régal de pénétrer dans l'univers des staffs, des joueurs, de leurs vies privés. Moment émotion avec Georges Ford à la maternité avant de partir en Italie alors que sa femme est presque prête à accoucher. Le rôle feutré des épouses donne une autre dimension dans la genèse de la préparation mentale pour un match. Idem que pour Duhan Van Der Merwe ou son épouse croit en lui. Le summun fût avec Jamie George qui veniat de perdre saMère d'un cancer et dont le mental reposait sur les épaules de son Père et de ses coéquipiers. Et le jeune Jenkins, Gallois au nom célèbre, Capitaine sous l'ère de Waren Gatland, très paternaliste. De belles voitures, des cadres somptueux pour s'entrainer, des hôtels non moins luxueux, mais toujours de la gaieté en fond de toile. J'ai bien aimé l'accueil des Italiens et la confiance partagée avec Gonzalo Quésada. Par contre, sa femme s"èpuise de ces déménagements et souhaiterait retrouver la Pampa ! Bref, un moment divertissant, un regard léger loin de ce qu'on peut lire ici ou là. Je vais regarder la suite avec l'EDF ! Sinon, la FFR en dépôt de bilan 75 M€ dont 57 M€ liés à la coupe du Monde (19 M€ de redressement fiscal et 36 M€ d'exploitation) et 18 M€ de déficit d'exploitation ! Rien que ça, une paille avec un trésorier connu Claude Hélias, viré du ST ! Effectivement, Florian Grill, PDG de Co Spirit Groupe (CSG, ça ne s'invente pas !), 34 M de CA et 23 M€ de marge brute, n'est pas un débutant en affaire et je reste scotché sur tant de déboires. La FFR, branche amateur du rugby français c'est le cas de le dire, est en faillite si les pouvoirs publics n'interviennent pas ! Il suffira de traverser la rue pour aller à Bercy ! C'est comme cette victoire en Italie en forme de trompe l'oeil qui masque nos insuffisances potentielles. Verdict en Irlande ou avec l'Ecosse ou les deux. Chaque année, nous avons un grain de sable qui enraille les performances. Souvenez vous l'an dernier le match nul historique de l'Italie alors que nous avions match perdu sur le terrain. Merci le poteau. Cette année, c'est l'Angleterre en cours ! En 2023, ce fût l'Afrique du Sud avec un banc (7/1), etc., du poil à gratter on en trouve et 2027 pointe son nez insidieusement. Cela me rappelle cette émission de télévision "lunettes noires pour nuits blanches" titre emprunté par Thierry Ardisson pour une campagne publicitaire pour les lunettes "Glamor" ! L'émission a duré 2 ans. C'est le temps qui reste pour construire un cuirassé qui ne fasse pas glouglou comme le Titanic.
RépondreSupprimerDemande de médiation du ST concernant Jaminet ! Bien entendu "un mauvais arrangement vaut mieux qu'un bon procès", Didier Lacroix le sait, cela permet d'étouffer le serpent dans l'oeuf ! Car René Bouscatel est à l'affût et ne pourra laisser passer cette affaire qui concerne le Salary Cap et le détournement d'argent. Il serait juste à mon sens que Jaminet récupère les 450 000 € investis pour aller au ST. Ceci montre que les affairistes ont pignon sur rue sauf quand il y a un grain de sable ! Finalement, l'USAP s'en sort bien sans mettre la main au portefeuille. On peut donc à partir de ce fait divers tout imaginer dans les transactions financières avec les joueurs. Un précédent pas si vieux avec Kolbe. L'intérêt c'est que le PNF ne mette pas le nez dans ces histoires car le Président Grill en mesure les effets. Sinon, je voudrais revenir sur Jalibert et toutes les critiques, les cabales faites à son sujet. Pourquoi s'acharner inutilement sur un de nos rares 10 français ? Il donne satisfaction à Bru, est créateur à ses moments et surtout fait jouer une ligne de 3/4 qui n'est autre que celle du XV de France. Bizarement, d'un côté cela fonctionne et de l'autre c'est soi disant l'échec ! Bon chacun ne regarde qu'à midi comme toujours. Peut-on avoir l'esprit libre et être serein quand vous n'avez pas la confiance du sélectionneur ? Imanquablement non, cela vous pousse inconsciemment à commettre des fautes. Comme quoi, le mental creuse en vous des failles imperceptibles qui ont une traduction direcet sur le terrain. J'ai approché de très près Matthieu, blessé. J'ai très vite compris et senti cette fragilité cachée que même des lunettes fumées haut de gamme ne voient pas. Tout comme Romain NTK, épié, surveillé et conseillé par son Emile. Ce garçon est inconsciemment parasité par le regard de son Père qu'il ne veut pas décevoir. Et à chaque fin de match, il se tourne toujours vers lui ! Que peut-on faire pour remédier à ces problèmes ? Couper le cordon paternel, dire au sélectionneur de sortir les lunettes ? Vraies questions de fond et bien d'autres encore. Pourquoi Dupont n'est pas comme ça ? Tout simplement, décédé trop tôt. D'ou le transfert de réussir et de montrer à sa mère son absence et sa réussite. Se projeter dans quelqu'un ou dans quelque chose est je crois une oeuvre de bienfaisance bien sûr dans les limites du raisonnable et du conventionnel. Cela me fait penser aux frères Cambérabéro, Guy et Lilian, l'un sans l'autre ce n'était plus les mêmes et Guy avait quelque part le dessus sur Lilian me semblait-il. Mais mes yeux d'enfant illuminés par leurs jeux pourraient subir le regard de plus anciens que moi ! Observez bien, lorsque quelqu'un baisse les yeux ou son regard c'est qu'il se sent coupable, mon métier m'a appris cela mais aussi avec mon Père et avec ma Nounou Margot à la ferme ! L'observation est une mine inépuisable de renseignements et c'est devenu une habitude.
RépondreSupprimerOui, intéressant. Beaucoup à dire, évidemment, mais pas maintenant. Pas le temps cet après-midi.
RépondreSupprimerRoule, roule ....
SupprimerLa presse blablate sur Méafou ! Rêvez on ne le reverra pas avant fin Mars sauf potion magique du druide ! Quand vous êtes infecté sévèrement et que vous un traitement durablement, le retour à la compétition et à des performances de niveau internationales sont un diux rêve. Sinon petite distorsion dans les sanctions entre Ringrose et Ntamack, l'irlandais pourra compter sur le match de championnat pour réduire sa sanction à deux matchs internationaux ! Vous comprenez mieux pourquoi l'ECPR et WR ne donnent aucun poste clé à la France ou presque exception faite à Joël Jutge. Sinon Grenoble atomise Béziers et se rapproche de plus en plus du top 14 ! Hmmmm.
RépondreSupprimerAux dernières nouvelles, Méafou serait sélectionné pour jouer l'Irlande. Le druide a donc trouvé la potion magique!
RépondreSupprimerOui sur la liste des 42 mais ne s'est pas entraîné avec le Stade car en arrêt maladie jusqu'au 2 mars. Alors en une semaine sera t il au top niveau international après un arrêt long depuis ! A moins qu'il reçoive du sérum de lièvre pas impossible ! Dans tous les cas, c'est une inepsie médicale et cela montre la misère sur le poste de 2e ligne. Enfin, Galthié considère les joueurs comme des bêtes de somme rien de plus.
RépondreSupprimerJe cherche à voir le rouge de Skelton sur simulation de Briatte, la presse est bien muselée, impossible de se faire une idée. Cela pose plusieurs problèmes à mon sens; vat-on vers les simulations des footballeurs digne des Guignols !, quid du vidéo arbitrage et des décisions collégiales prises par les arbitres et quelle sanction pour le simulateur si tel est le cas ? Pour que le Président Merling quitte la tribune, qu'O Gara parle de Briatte l'assimilant à Neymar au parc des Princes, c'est que le doute est là. Reste que ces situations sont plutôt rares quoique, comme le jeu se déplace vite, parfois il y a des scories. LA mi-temps permettrait de revoir les actions litigieuses avec onjectivité. Non ? Si Skelton a pris un rouge, au bout de 20mn, on peut le remplacer non ? ou ce n'est qu'en match international ? J'avoue je n'ai pas révisé. Faut-il sanctionner les supporters ? A Aimé Giral, pour la sortie de Jalibert, sifflets, doigts d'honneur, etc. Il est vrai que quand vous perdez tou est bon pour en rajouter. Ce bashing permanent entretenu par le XV de France qui se décline chez les journalistes et qui finit par déteindre dans les enceintes plaide t-il pour la bonne cause du joueur, de l'équipe et au sens plus large pour l'éthique de ce sport ? Des internationaux ont pu jouer ce week-end et d'autres sont restés au chaud à Marcoussis ! Deux poids, deux mesures, ou est la cohérence dans tout cela ? Je trouve que ce sport perd son latin par la perfidie des uns et des autres, par le côté occulte de ce sport et par l'argent de plus en plus intrusif qui bouleverse les mentalités et les pratiques, cf. la médiation du Stade Toulousain avec Jaminet. J'ai vu quelques vidéos de l'avant match du ST Vannes avec cette fraicheur du public breton venu de loin avec des chants et des cornemuses. Ils mériteraient un bonus offensif et l'USAP un point en moins. Et pour Briatte, s'il simule, 6 matchs de suspension voire sanction financière ! Enfin, Echegaray, plus rapide que Lucky Luke, pas même 10s pour marquer un essai dès l'entame, c'est être cueilli à froid ! Ah ! j'oubliais, les deux ex mentors de l'EDF Ghezzal et Labit, le premier se refait la cerise à Lyon semblet-il, le second est écarté par le Dr Wild avec effet immédiat. Pas bon d'être parisien en cemoment ni là, ni au R 92 qui coule en pente douce ! Je n'attends plus que l'heure de vérité celle de l'Aviva Stadium, le point d'orgue du tournoi des VI Nations même sans Ringrose ! Tiens ma fille avec sa copine est allé voir l'équipe II de Caraman dans le Lauraguais, une après-midi champêtre !
RépondreSupprimerJ'ai joué à Caraman en 1983. Il y avait Claret comme entraîneur et Bourgarel en 3/4 centre. Ma femme et la sienne avaient sympathisé. Par ailleurs, comme tu parles d'argent alors que nous sommes dans le monde professionnel, je repense à l'époque de l'amateurisme dit "marron". Une autre vie, un autre temps, une autre vision des choses, de façon de vivre. Certainement, pas pire qu'aujourd'hui qui se considère comme sain parce que l'argent est soi-disant déclaré officiellement. Sauf, que les magouilles restent vivantes,! Juste en beaucoup plus gros. La nature humaine? N'est-ce pas?
RépondreSupprimerEt je dois avouer que les évènements internationaux m'occupent plus le ciboulot que les matches de rugby. Difficile d'échapper à Trump, à ses sbires, à Satan, à ses pompes et à ses œuvres.
RépondreSupprimerLà tu sors de la sphère du blog
RépondreSupprimerFais pas chier et joue pas ton petit Richard.
RépondreSupprimerBon, la nuit porte conseil comme on dit.
RépondreSupprimerJuste dire que mon esprit est malheureusement, et normalement je pense, imprégné et préoccupé par les évènements mondiaux qui englobent et dépassent largement les problèmes rugbystiques. Aucun désir de relancer ce sujet ici mais, tout simplement, signaler que ce bain dans lequel nous surnageons transforme nos sujets quotidiens et nos intérêts habituels d'une façon particulière et resitue mes préoccupations radicalement pour le moment.
André,
RépondreSupprimerJe ne suis ni petit, ni Richard, je reste moi-même avec mes passions loin des tumultes de l'actualité. Je comprends tes apriorités et tes angoisses. Tous les jours, je suis aux contacts de retraités qui n'ont pas ta liberté de penser, de vivre, de profiter de la vie même simplement car leurs priorités c'est de manger avec 200 à 400€ par mois, rien d'autres engendrant des carences alimentaires qui n'existaient pas ces dernières années. J'ai donc recours aux médicaments pour les traiter. Quand je les vois chez eux ou au cabinet, j'essaie de leurs donner un rayon de soleil bien loin des affres du quotidien. Alors tes comparaisons, je les prends comme telles, je souris devant ta faiblesse d'âme et je pense que tu pourrais créer un blog de ta belle plume pour parler des évènements internationaux, de Trump et de la noria d'imbéciles qui gravitent autour. Passe une belle journée.
Merci du conseil. Pour "mes belles journées", çà j'y arrive....Je fais avec "ma faiblesse d'âme", comme tu dis....Bien que je ne comprenne pas bien ce que tu veux dire par là?!
RépondreSupprimerça y est je suis connecté à ce blog de tautor, à plus
RépondreSupprimerIl me semblait que tu y étais déjà et que j'avais lu une ou deux remarques de ta part...?
RépondreSupprimerRebonjour, donc.
RépondreSupprimerDu mal à comprendre "LE PILIER" de cette semaine...disons, très "philosophe" et assez brouillon! Pour moi. Et pas envie de m'y remettre pour une lecture sérieuse. J'avais déjà vu le film entre les Allemands et les Grecs: assez amusant.
RépondreSupprimerLe jeu des chaises musicales, três amusant de voir 2 anciens du staff de l'EDF, Labit et Ghézzal, limogés
RépondreSupprimersans vacarme, partir pour le stade Français où ils ont fait des étincelles et puis pschitt. Karim, retour aux sources, pour la remontada du LOU et Laurent n'a pas vu venir l'ordonnance du Dr Wild avec effet immédiat. Sûrement, la signature du Cardinal Lombardi ! Que va devenir le pompier de service Collazo ? Sinon, NTK va t-il tenir tout un match sans avoir jouer depuis 5 semaines ? Et Meafou remplaçant ! On joue le 1er. A voir si le choix s'avérera payant.
Sio Kite, 16 ans, 147 kg, australien, vous connaissez ? Pour ma part, non. A signé à La Rochelle, pilier de formation, on le voit bien 2e ligne. Comment l'Australie peut elle laisser partir ses futures pépites ? Et sommes nous aussi pauvres que ça en France ? On va chercher ailleurs pour masquer nos insuffisances. Nous sommes peut-être le seul pays à être inondé par autant d'étrangers ce qui pose questions pour ma part. Je pense que nous devenons comme les clubs de football professionnel un amalgame de joueurs étrangers alors même que nos pépite sont dans les meilleurs clubs européens et forme l'ossature de l'équipe de France. Le risque pour le rugby c'est de devenir aussi rond et plat que le football.
RépondreSupprimerla Fédé australienne a pas mal grogné parlant du "vol" du jeune Sio Kite, tentant de s'y opposer mais les parents du jeune ont tenu bon arguant du fait qu'aucune franchise australienne n'avait proposé de contrat au gamin . Les Australiens ont même contacté la FFR car à 16 ans il était hors fenêtre de développement des 17-23 ans . La même fédé a donné son feu vert ; de quoi intriguer effectivement . Certes son gabarit est impressionnant - 2,04m - mais je me demande si les Rochelais l'ont vu jouer . Et ces jeunes sont fragiles, il n"y a qu'à voir en basket le jeune Wembayana déjà blessé pour de longs mois . Quant au côté psy ... n'en parlons pas, les exemples abondent comme ces Fidjiens qui n'ont pas pu s'adapter .
SupprimerPlus qu'une veillée pour se dire si l'EDF va franchir le Rubicon. La nuit porte conseil, en fait le plus important pour demain c'est la météo. Tous les grands faits de l'histoire se sont construits dans la grisaille du petit matin, Austerlitz, le D Day, pour les plus connues. Mais à l'Aviva Stadium, la pluie, le vent et la pelouse grasse pourront faire déjouer tous les stratèges et stratégies. Ce qui s'est passé, il y a 2 ans, à Twickenham avec une victoire inattendue, homérique, ne se reproduit que tous 10 ou 20 ans. Et pourtant, l'enjeu est simple, une victoire avec bonus ouvrirait les portes pour gagner le Tournoi à condition de disposer de l'Ecosse. De l'autre côté, les Irlandais, roublards, ont du tout prévoir pour nous savonner la planche. J'ai encore en mémoire le match de 2023, chant du cygne de la coupe du Monde, ou nous avons pris 4 essais et une déculottée de mise. Reste ce banc de touche 7/1, copier coller des Sud Africains, arme psychologique s'il en est une et dont l'efficacité sera mise à rude épreuve avec des adversaires taillés dans le trèfle.
RépondreSupprimerJ moins rien du tout, ne pas céder à l'abaissement en mélée ou à la fatalite de l'imprévu, l'indifférence serait destructrice. 3 raisons pour se méfier de cette fin de carrière de valeureux joueurs qui ont marqué le Trèfle : Peter O'Mahony, Cian Healy et Conor Murray. Ils vont tout donner pour une sortie "a hombros" nous laissant avec nos estocades, nos bandérilles et nos illusions de valeureux perdants. Toute l'Irlande sera là pour pousser dans un match qui signera à ne pas en douter un moment de rugby du tournoi des VI Nations. Et je n'oublie pas Ecosse Pays de Galles, autre point d'orgue ou la jeunesse pourrait crucifier la cornemuse dans son antre. Une après-midi de rêve ou l'ire ne sera point amère mais conseillère pour les futures joutes. Bons matchs.
RépondreSupprimerAucune inquiétude durant les 20 premières minutes. Par la suite, double inquiétude avec la blessure d'Antoine Dupont et le choix assez délirant du 7/1, mais, surtout, par ce sentiment diffus que l'arbitre -plutôt bon par ailleurs- facilite et facilitera toujours le point de vue Irlandais. Histoire vieille comme le rugby européen et le Tournoi des 5 Nations: se reporter à Tautor du 28 février 2025 (22h35)!
RépondreSupprimerIl faudra en un, ne plus avoir de blessé derrière, en deux être beaucoup plus fort que les Irlandais pour compenser le culture générale anglo-saxonne: nations et arbitres compris.
RépondreSupprimer4 essais à 1, pas mal
RépondreSupprimer5 essais et Penaud
RépondreSupprimerTout c'est bien mis en place et a tenu. 7 avants de Toulouse quad même en seconde mi-temps!
RépondreSupprimerAuradou à Pau.
SupprimerA un moment: Baille-Marchand-Aldégheri -Flament et Méafou - Cros-Jelonch et Boudehent. Ceci avant la rentrée d'Auradou à le place de Flament, sur la fin.
SupprimerVictoire logique suite au contenu de la 2e mi-temps, je trouve que Lucu a apporté plus que Dupont dans un jeu plus classique. Le 7/1 a été payant et les 2 cartons jaunes ont coûté chers aux irlandais. Place aux jeunes trèfles. Reste que nous perdons "Mr plus" une tuile pour le ST. J'ai bien aimé Boudehent, Cros, Moefana et Bielle Biarrey. Penaud trop fantasque pour en dire que du bien. Victoire et bonus, nous voilà bien placé pour emporter le tournoi. L'honneur est sauf.
RépondreSupprimerGalhié a dit 5 fois "momentum" dans son interview de fin de match ; un pari ?
SupprimerBon moi je n'aime pas l'EDF alors je les regarde par obligation envers ton blog . Heureusement qu'un Grenoblois marque 2 essais sinon j'aurais lâché l'affaire .
Amusée par Lartot qui, joyeux à l'annonce du forfait de Lowe, s'effondre à la blessure de Dupont ; se met à mettre en doute la stratégie du 1/7 de Galthié, heureusement il parvient à rattraper le coup grâce au bon résultat de l'équipe : Galthié a eu chaud !
Bref, tout n'est que communication ; il va même arriver à faire oublier que quoi qu'il se passe le GC est à l'eau .
J'espère que la 3e mi-temps sera sage .
Là je regarde les Ecossais contre les Gallois . C'est joli, plein d'entrain bon, ça foire aussi pas mal mais au moins ça essaie .
J'avoue avoir un peu de mal à suivre ton analyse du match et tes points vues manifestement biaisés par une sorte de "haine" vis-à-vis des Français et de Galthié en particulier.
SupprimerEn un mot, une phrase plus exactement: une très grosse équipe de France a totalement maîtrisé, voire écrasé une Irlande fébrile et vieillissante.
Une sorte de match inversé de celui raté à Twickenham contre les Anglais.
Les deux capitaines de l'ère Galthié -Charles Ollivon et Antoine Dupont- éliminés sur des blessures semblables au genou. Tout seul pour le premier, un peu "aidé" pour le second!
SupprimerMon point de vue biaisé alors que le tien manifestement ne l'est pas André ! Pas de haine, juste je ne les aime pas . Je ne te demande pas de suivre mon point de vue mais de le respecter . A part souligner en permanence la pertinence de tes points de vue, et l'inanité des miens, ça devient lassant .
SupprimerEffectivement, tout regard se respecte sans besoin de clascher. Ici, le pacifisme règne, tout angle de vue me va bien et peut emmener une réponse à la hauteur de l'esprit du blog. Ici, ce n'est pas la cour de l'école, nous devons rester aimant, passionné et courtois avec en fond de toile notre passion commune le rugby mais pas que. Depuis 2019, Galthié n'a qu'un seul titre celui du tournoi de 2022. Le personnage reste clivant avec ses certitudes et ses échecs. Hier après-midi, après le 2e essai irlandais en début de 2e mi-temps, le vent a tourné, les mouettes ont changé d'âne. Entre les avants du ST et les arrières de l'UBB, le joug a bien fonctionné et nous avons vu une grande 2e mi-temps. Je souligne aussi que les 20 premières minutes ont montré qu'une défense hermétique peut venir à bout des meilleurs, cqfd. Mais, au delà de cette éclatante victoire qui nous remet en selle pour une victoire dans le tournoi, c'est la blessure de Dupont qui foudroie les esprits. D'un fait de jeu, on cherche des coupables soit. Sur les rucks, la réglementation a évolué surtout en venant sur les côtés. Que font les arbitres, les entraîneurs et les joueurs à ce propos. Rien, pas vu, pas pris. Idem que pour la commotion de Barassi, évacué sans respecter les règles de WR. Là aussi, on cherche la petite bête. Ce besoin de rechercher des sanctions vient de l'affaire Ringrose NTK ou nous avons été floué. Rupture du croisé déjà opéré, ça se complique pour Dupont qui va pouvoir mettre à profit cette longue période pour clarifier sa situation de sportif et d'homme d'affaires. Il va falloir gérer sa fin de carrière et la coupe du monde 2027. Certains vont profiter de cet espace pour s'imposer au poste. Lucu a fait le job remarquablement bien dans un rugby bien plus sobre et bien plus efficace n'en déplaise à FG. Il va falloir apprendre à gérer l'après Dupont. La blessure et l'absence d'Antoine n'ont pas fini de faire saliver admirateurs et détracteurs. Serin, Couilloud seraient enfin aussi légitimes que Le Garrec. Le débat est lancé.
SupprimerEcosse Galles a tenu ses promesses avec des Écossais dans la maîtrise du jeu et de jeunes gallois affamés, joueurs, qui ont montré qu'il faudra compter sur eux avec un peu plus de maturité. Le 15 m'a enchanté tout comme Faletau, 34 ans. Donc finale du tournoi au SDF. Et pour Dupont, rebelote. Galthié a saisi la commission pour mauvais gestes sur Antoine et Pierre Louis, une lourde contribution pour le ST déjà empêtré avec l'affaire Jaminet.
RépondreSupprimerOui beau match haletant avec un final extraordinaire, je préfère nettement ce type de rugby , quitte à déplaire mais je m'en fous .
SupprimerCes jeunes Gallois progressent sans bruit et en efficacité. A suivre ne serait ce que pour Gatland limogé à tort.
SupprimerToute la presse ne parle plus que de Dupont, le meilleur 9 de la planète ! Si c'était Théodule en Fédérale 3, il n'aurait pas droit à une seule ligne ! Chacun y va de son efrain. Le seul à savoir c'est Antoine ! Un croisé qui rompt c'est très douloureux et le test de Lachman fait par le médecin devant les caméras ne laisse aucun doute. Alors, il va revenir à Toulouse, dans le berceau du ST, pour des avis autorisés. Qui va l'opérer ? Le Pr Cavaignac, émminent spécialiste du genou et du ligament interne avec une technique chirurgicale innovante ou bien l'équipe de Médipôle, clinique privée ou officie le médecin du ST ? Souvenez vous , pour la fracture du plancher orbitaire, mon ami de promo l'avait opéré sans discussion, victoire du CHU. Quid aujourd'hui ? L'imagerie va donner des précisions mais c'est une fois dans le genou que l'on constatera les dégats en particulier le ménisque interne qui a du souffrir vu le mécanisme de contrainte imposé à l'articulation. Les paris sont ouverts. La problématique sera la rééducation au CERS de Capbetron ou pas, le respect du temps de cicatrisation et le retour à la pratique du rugby dans 9 mois à 1 an sous peine de courir des risques. Bien sûr, en toile de fond, sa carrière, l'argent, l'aura et les contrats. Opéré en 2028, à 21 ans, dans un match contre les irlandais, la chirurgie a tenu 7 ans en jouant le haut niveau. Mais comment ne pas parler du reste, des sollicitations, le VII, les affaires , les restos du coeur, sa Bigorre natale, etc qui font que l'hygiène de vie ne laisse pas de place au repos total et absolu sur le plan musculo ligamenatire, comme on dit "a force de tirer sur la machine, ça casse". Je serais curieux de savoir ou en est sa vit D, vit C et les folates ! curiosité médicale oblige ! Surement après le tournoi, une chronique sera dédiée à Antoine que j'ai eu la chance de croiser en U16 ! Maintenat, rideau sur lui car le plus dur reste à faire.
RépondreSupprimerEt que dire de cette victoire ? Surement une des plus abouti depuis quelques années ou le copier coller 7/1 d'Erasmus a fait sa preuve ce qui fait réflechir aux statégies futures du rugby. 2 lames d'avants pour détruire l'adversaire avant d'envoyer la cavalerie à dame. L'imprévu ce sont les blessures. Un point favorable qui tourne en notre faveur. Trop de vieux briscards côté Trèfle, en fin de course, pouvant jouer à fond 20 à à 30 minutes puis s'écrouler sous la pression. Le plus visible, c'est O'Mahony, 35 ans, obligé de faire des fautes sur Moefana et LBB, strappé comme un vieux soldat et ayant recours aux soigneurs à plusieurs reprises. Il est temps de quitter le terrain. Idem pour le chouchou de Gariguette Bundee Aki, 34 ans, usé par le haut niveau, la retraite n'est plus loin. Bref, l'osmose vieux chevaliers aguerris et jeunes des près n'a pas donné le résultat escompté. En ça, cela donne raison à Galthié qui prend les plus performants du moment. Deux de mes filles jouent au rugby et ce midi, la cadette, étudiante en droit a eu un sujet de partiel hier matin sur la responsabilité civile en sport ( 2 cas sur l'escalade et le polo). Intransigeantes sur les Irlandais, coupables selon le droit français, d'avoir eu des gestes dangereux de déblayage sans retenue contrairement au règlement dans le ruck sans pour autant vouloir intentionnellement porter atteinte à l'intégrité physique de Dupont. Idem que pour O'Mahony sur les deux cités plus haut. Même si l'arbitre ne siffle rien, la faute est répréhensible au titre de la règlementation. Affaire à suivre in fine ! Tout ce ci n'enlève en rien notre victoire construite sur un huit de devant, à l'image des éléphants d'Hannibal, conquérants, comme pour la bataille de Trasimène en 217 av. J.-C. qui fût une déroute romaine sans précédent. Soir de bataille, José Maria de Hérédia,
RépondreSupprimer"Le choc avait été très rude. Les tribuns
Et les centurions, ralliant les cohortes,
Humaient encor dans l'air où vibraient leurs voix fortes
La chaleur du carnage et ses âcres parfums."
J'avoue que je lui préfère la Trebbia. Bon affaire de consonnance !
Quelques centurions à l'honneur dont François Cros, Pierre Boudehent, Lucu, Moefana et les deux flèches de l'UBB LBB et DP. Une mention pour Ramos auteur de l'interception qui change le cour du match. Bon dimanche
2e essai à transformer !
RépondreSupprimerDupont reste à Marcoussis ? Je regardais sur Insta un interview. Choqué de lire sa tristesse dans son regard, une tortue qu'il ne mérite pas. Comment Galthié ose t-il lui demander de rester ? Je serai lui, des épreuves plus dures vont l'attendre, je ne sais pas si le coach sera là. Remuer le couteau dans la plaie en plus du chirurgien sera t-il constructeur d'un avenir aussi rose que ces huits dernières années ? Toto est un terrien, touche à tout, opportuniste et éclectique. Aujourd'hui par rapport à 2018, sa situation rugbystique et son aura ont changé du tout au tout. 9 mois pour se refaire un body avec un ligament 2e génération ce qui veut dire la vie jet-set, les affaires en cours, va falloir faire des choix. S'il veut revenir au niveau de ce qu'il est actuellement, il faudra 18 mois environ peut être moins, regardez pour comparaison Jelonch et NTK, la raison a fait la différence. Enfin, il faudra revoir son jeu sûrement. Que faisait il dans ce ticket à la place des 3e lignes absents ? Car le problème est là aussi et tue à ce jour par l'ensemble de la presse et des professionnels du rugby. A mon sens, sa générosité va lui coûter cher. Je risque de le voir Samedi soir, j'en serai peut être plus. Bon une tuile pour le rugby.
RépondreSupprimerVivement samedi soir pour vivre au ras du som ce que personne ne voit d'en haut ! le bal des accolades des faux culs, le passage des Officiels, pointilleux à souhait dans leurs tenues qui redeviennet des quidams à l'extinction des feux. Ce bal ou vous êtes contrôlés dix fois par la même personne en passant dix fois devant lui est à mourir de rire. Nous aurons, dans un anglais parfait à recevoir World Rugby et leurs recommandations avec un traducteur des fois que ! Puis le manège avec les médecins des èquipes qui posent des questions sur les moyens mis en place, qui sont les psécialistes pour conclure du moins "the french boiteux" qu'il se débrouille tout seul ! Répétitions des manoeuvres pour l'extraction d'une commotion cérébrale ou nous sommes notés ! Passage des huiles de la FFR pour une poignée de louches et du "comment vas tu ?"; Repas servi un sandwich, un 33 cl d'eau minérale et un fruit ! Heureusement, nos malettes sont remplies de perfusions et du solide; Ah j'oubliais, à l'arrivée, avant de ploger dans les entrailles des parkings (10 000 places), controle avec Rintintin, le détecteur, les pièces d'identité, etc. du haut niveau. Allez pour ce soir, détente !
RépondreSupprimerAh ! Mam Goz, Manu,entre un cigare et une cochonaille, n'oubliez pas de signer votre éditorial !
RépondreSupprimeroups, bien du mal à arriver jusqu'ici. Parcours du combattant, plus difficile que le tournoi ou l'entrée dans le stade !! Ai mérité un cigare.
SupprimerBienvenue à la Bretagne !
SupprimerMerveilleux de vous lire et de vous savoir des notres. Vous allez voir, entre 2 bouffées de Havane, l'inspiration viendra toute seule ! J'ecris ma nouvelle chronique. A bientôt Mam Goz et Merci. Bien plus courageuse que certains !!!! j'apprécie
Demain, retour de Fickou, avant dernier du top 14, qui pour moi fait parti du passé sans animosité. Dans une équipe de plus en plus mobile derrière avec des lévriers, le voir là m'interroge sur l'obscurité des liens internes qui peuvent exister au même titre qu'Auradou et Jégou au sein du staff et de la FFR. J'avoue que c'est comme les points noirs ou les comédons sur le visage, ça n'échappe pas au regard. On pourra parler d'un neuvième avant et de 4 arrières sans compter la paire de demis ! Cette année est la 26e année d'une folle aventure qui a commencé avec deux matchs déportés de la coupe du Monde 1999 au Stadium. J'avoue que je suis heureux de ce parcours qui concrétise non pas la réussite mais la foi, la conviction, la complémentarité apportéés aux médecins des équipes, aux staffs et aux joueurs, accompagné de filles et de garçons dévouées, passionnées, ultra compétents et aujourd'hui, notre association est une entité à part entière. Merci au Président que j'ai mis sur les fonds baptismaux pour que la transmission soit un gage de savoir faire. Demain, je vais savourer avec deux de mes trois filles, avec toute la patrie du Médol, une possible victoire dans le tournoi 2025 sans pour autant oublier à jamais le long nuage blanc de cet automne, apothéose de 25 ans de vicissitudes plus ou moins aléatoires. Peut être un jour j'écrirais un livre sur toutes ces années passées au bord du pré depuis l'âge de 5 ans ! Bien sûr, mon âme n'oublie pas la Lomagne, celle de l'ail et de l'humilité et mes Pyrénées qui m'ont souvent permis de prendre du recul et de la hauteur par rapport aux âffres de la vie. Merci à l'Ovale d'avoir toujours été présent dans mon coeur. A dimanche.
RépondreSupprimerPour le moment, l'ambiance monte, terrine de pâté, entrecôte 300gr, Maucaillou, dessert et café
RépondreSupprimerRetour à l'infirmerie pour la sieste
C'est dur d'être un "officiel"....!
RépondreSupprimergrand bravo aux U20 qui finissent premier
RépondreSupprimerj espère que ce soir ....bon match à tous
Les U20 ont gagné le tournoi parce que les anglais perdent leur match.
RépondreSupprimerPénible 1ère mi-temps ou nous sommes loin de dominer la situation. On ne sait pas tuer un match. Une fois de plus, un mental friable, on joue la peur au ventre, les écossais se sont enhardis au fil du match et heureusement que l'essai est refusé. L'axe Russell Kinghorn nous font mal.
RépondreSupprimer2e mi-temps, match indécis jusqu'à ce que Russell perde le ballon au profit de NTK qui transmet à LBB. Essai et les carottes sont cuites. Le reste n'est cerise sur le gâteau avec des Écossais joueurs jusqu'au bout. 2018, 2025, le chat est maigre somme toute. Ovation du SDF pour Antoine Dupont largement méritée. Cette agora est devenue une salle de spectacle ou le public y trouve son compte. Retour Toulouse.
RépondreSupprimerCette dernière journée du Tournoi et ton aller-retour Toulouse-Paris-Toulouse m'a fait bien ressentir à quel point ta passion pour le Rugby (historique) était ancré en toi. Bravo.
RépondreSupprimerL'événement du soir c'est bien sûr la chanson de Louane ... Lol .
RépondreSupprimerSinon j'ai vu des Ecossais épatants et des trucs bizarres comme ce jaune de Mauvaka, même pas devenu rouge malgré les certitudes des commentateurs de FR2, ou encore cet essai refusé en fin de 1ère mi-temps . On comprend mieux les grognements de Townsend . Bref .
Le Tournoi 2026 sera pour les British de même que la Coupe du Monde à suivre . Ca me semble inévitable à les voir monter en puissance à chaque match .
Alors me direz-vous, mais quid de "nous" ?
Ben toujours pareil : rien à dire, ça gagne mais on se demande bien pourquoi . Un peu à l'image de ce regard désemparé de Dupont . Mais qu'est ce que je fais là ?
Bonsoir
RépondreSupprimerDe lire tant de déclarations des uns et des autres sur Jegou, Auradou, Dupont, Jalibert, Mauvaka, Ramos, etc. , sur les déclarations des anglais, de BOD, de Nigel Owens, mais aussi celles de Joubert nouveau président de la LNR, les 26 ans du Médol, ... je cherche mon credo pour la prochaine chronique. Patience !